J’ai un patronyme particulièrement complexe : il est composé de deux mots séparés par un trait d’union, le premier mot est composé de 5
lettres, le deuxième de 4 lettres. Ce qui fait dix signes à mémoriser dans un ordre bien particulier. Ceci explique sans doute les coquilles rencontrées à droite ou à gauche.
Google me renvoie par exemple quatre résultats pour Bouba-Oulga, notamment un commentaire chez Embruns, un lien élogieux (rubrique « blogeconomitude, respect ») chez Blogizmo (dont je salue au passage l’arrivée dans la blogosphère et que je vais suivre avec attention, enfin… dès que la coquille est rectifiée 🙂 add 21/05 : ca y est, c’est rectifié – quelle célérité!), et une référence dans une
communication en colloque.
Un peu mieux quantitativement (neuf résultats), mais surtout qualitativement, pour Boulba-Olga : c’est d’abord Denis Clerc qui écorche mon nom dans sa recension de mon livre « économie de l’entreprise » (je précise : j’ai bien aimé la recension ; je préfère cette recension avec coquille qu’une mauvaise recension sans coquille ou
encore –le pire pour un auteur!– pas de recension du tout…), c’est également Ségolène Royal en personne (ou
son nègre : tient, je fais une hypothèse) dans le chapitre 2 de son ex-futur ouvrage…
J’ai trouvé aussi du Olivier Boula-Olga dans les liens du blog Les cafés économiques, ainsi que du
Bouda-Olga (restons zen) dans certains commentaires (par Frednetick, à plusieurs reprises).
Allez, pour vous aider : pensez pour le premier mot au petit ourson (qu’est-ce qu’on est pas
obligé de faire…) et pour le deuxième, dites vous que c’est comme le prénom. Pour le trait d’union, je n’ai pas
trop d’idée, mais de toute façon, il est facultatif…