Live blogging

Ce soir, c’est décidé, je fais du Live Blogging. En clair, pour les non initiés, je commente en temps réel le "combat" tant attendu.  Ce "match", certains disent que c’est un peu Berlusconi contre Blair, ce qui ne me semble pas totalement faux. On est en France, certes, mais c’est un peu deux conceptions de l’Europe que l’on va voir s’exprimer.

A la vue des prestations antérieures, on s’attend côté gauche à ce que ça parte très vite, un peu dans tout les sens peut-être, mais parfois, cela donne de vraies fulgurances. Côté droit, on redoute un peu les coups tordus. On verra…

En tout cas, ça risque d’être tendu, très tendu même, car finalement, le score est plutôt serré. Oh, certes, l’un des deux a réussi à se forger un léger avantage, mais tout reste ouvert. Et l’on sait bien que ce soir, c’est un peu la finale avant l’heure : le vainqueur aura toutes les chances de l’emporter lors du dernier round…

S’agissant des tenues, j’ai cru comprendre que, côté gauche, ce serait du rouge et du blanc, ce qui reste conforme à ce que l’on a vu jusqu’à présent. On sera plus classique côté droit, très classique même, avec un haut blanc et le reste plutôt sombre.

Une question importante : les "arbitres" sauront-ils rester neutres ? Pas sûr, car on sait que dans le domaine, les pressions existent, les médias s’en sont fait régulièrement l’écho…

Beau "match" en perspective, en tout cas, c’est certain. Mais quel que soit le vainqueur, je ne suis pas sûr que la France y gagne grand chose…


Ce soir, je fais du Liveblogging, donc, mais j’hésite encore : je regarde cette chaîne… ou bien… celle-ci ?

Actualité bordelaise



Suite au commentaire de Clic, je confirme : je pars pour Bordeaux demain matin (jeudi 3 mai), je ferai une conférence autour de mon ouvrage sur Les nouvelles géographies du capitalisme à 18h30, dans le cadre des rencontres de la librairie La Machine à Lire. Les lecteurs bordelais du blog sont bien sûr les bienvenus !

Le lendemain, séminaire de recherche à la faculté de sciences économiques de Bordeaux IV, à l’invitation du GREThA autour du texte co-écrit avec Michel Grossetti.