J’explique parfois aux étudiants que le développement des connaissances est cumulatif : on n’a pas besoin de redécouvrir à chaque génération l’ensemble des connaissances déjà développées, on s’appuie plutôt sur elles pour en découvrir de nouvelles. Comme le dit la formule, nous sommes des nains juchés sur les épaules de géants (voir ici et là). Je leur dit aussi, ensuite, qu’ils ont parfois du mal à faire du cumulatif, lorsqu’ils peinent à se souvenir de ce que je leur ai enseigné l’année d’avant…
Qu’ils se rassurent, il y a pire (trouvé ici)…
Qu’ils se rassurent, il y a pire (trouvé ici)…