Journée Portes Ouvertes au CEPE-IAE de Poitiers

Vous êtes intéressé(e) par les formations du CEPE-IAE de Poitiers à Angoulême ?
– Master 2 Marques et Produits Jeunesse
– Master 2 Design Communication et Packaging
Vous souhaitez intégrer CEPE-IAE de Poitiers à la rentrée 2020 ? Venez à la rencontre des étudiants, responsables des formations et personnels à l’occasion de
– la Journée Portes Ouvertes, le samedi 15 Février 2020 de 9h30 à 16h30.
C’est l’occasion pour vous de visiter nos locaux et nous poser toutes vos questions. Les étudiants de chaque formation seront présents pour répondre à vos questions et vous conseiller pour préparer votre candidature :

Nom/Prénom Créneau Horaire Filière
Camille LE FOLL

Sarah D.

Matin M1 Marketing, Vente
Méghane CREN Matin M2 parcours design et Packaging
Blong YANG

 

Matin M2 parcours Marques et Produits Jeunesse
Adélaïde SAGNES

Adrien ROUCAIROL

Après-midi M1 Marketing, Vente
Sophie RYS Après-midi M2 parcours design et Packaging
Emeline G. Alexis D. Après-midi M2 parcours Marques et Produits jeunesse

 

Le CEPE/IAE de Poitiers dispose de locaux spacieux sur 1 500 m² et d’équipements de pointe :
– 7 salles de cours équipées de vidéoprojecteurs interactifs,
– 40 postes informatiques en libre accès pour les étudiants équipés de logiciels professionnels de bureautique (suite Office, etc.),
– un centre de documentation spécialisé qui propose plus de 4 500 documents sur la consommation et marketing jeunesse, des revues professionnelles et un fonds de plus de 300 ouvrages spécifiquement dédiée aux théories et pratiques ludiques au jeu vidéo et au « serious game »,
– une salle d’expérimentation et de recherche comprenant une régie vidéo, des caméras et une glace sans tain permettant de réaliser des observations scientifiques, régulièrement utilisée par les professionnels pour mener à bien des études qualitatives et des focus group.
– un centre de ressources pour la recherche, équipé de casques de réalité virtuelle, de dispositifs de projection immersive, de captation audiovisuelle et d’un eye-tracker.

Sous la supervision d’un enseignant-chercheur, les étudiants accèdent à ces ressources dans le cadre des projets pédagogiques et du mémoire de recherche individuel en Master 2.

Les Etudiants du Master 2 MPJ animent le FIBD

Dans le cadre de la convention qui lie le Master 2 Marques et Produits Jeunesse (CEPE-IAE de l’Université de Poitiers) au FIBD, les étudiants du CEPE-IAE de Poitiers

– Tiennent un stand au « Pavillon Jeunes Talents » pour vous faire découvrir les métiers de la communication, du marketing et du Licensing dans les industries culturelles jeunesse et le parcours de Master « Marques et Produits Jeunesse » ;

– Animent le vendredi 31 janvier de 11 h à 12 h, la conférence « Les ‘BD jeunesses’ patrimoniales : découvrez les clés du succès des héros intemporels… » avec la participation confirmée de

o Stanislas GAUDRY, Responsable marketing des Editions CASTERMAN qui parlera   de Tintin,
o Julien PAPELIER, DG Editions DUPUIS / DG Pôle Audio-Visuel Media Participations / Président Parc SPIROU Provence, qui évoquera plusieurs héros intemporels du catalogue DUPUIS.
o Aurélie TRINQUART, Groupe Bayard qui évoquera la propriété Tom Tom et Nana

47ème édition du Festival International de la Bande dessinée d’Angoulême (FIBD)

Le Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême est reconnu comme l’un des rendez-vous incontournables du calendrier culturel mondial. C’est le deuxième plus important d’Europe en termes de notoriété et de taux de participation (200 000 visiteurs) après le Salon international des bandes dessinées de Lucques, en Italie.

Cette 47ème édition du FIBD aura lieu du 30 janvier au 2 février 2020 sera exceptionnelle ! D’abord parce que l’année 2020 est l’année officielle de la BD en France. Ensuite, parce que pour la toute première fois, le Festival se déroulera dans une ville désormais auréolée du titre de ville créative par L’UNESCO. Pendant le festival, la ville tout entière vivra au rythme du 9ème art, avec des évènements un peu partout. Les étudiants du CEPE-IAE de Poitiers animent chaque année un stand et une conférence au « Pavillon des Jeunes Talents ».

Nous vous signalons quelques points forts lors de cette édition :

Rencontres des Master class avec Robert KIRKMAN, Pierre CHRISTIN, Jean-Claude MEZIERES, Enki BILAL, Yukito KISHIRO, Inio ASANO et de nombreuses rencontres avec Christophe Blain, Charles BURNS, Johan SFAR, Catherine MEURISSE…

12 Expositions à découvrir : 12 expositions dont celle de Lewis Trondheim « TRONDHEIM FAIT DES HISTOIRES » à la cité de la Bande Dessinée et de l’Image. Grand prix de la ville d’Angoulême en 2006 et créateur du Fauve, la mascotte du Festival, Lewis Trondheim sera à l’honneur à travers la présentation de plus de cent cinquante planches originales. D’autres expositions qui seront à découvrir, notamment l’une consacrée au phénomène « The Walking Dead », à Yoshiharu Tsuge, à Catherine Meurisse, ou encore aux héros pour la jeunesse comme Naruto, l’attachant Petit Vampire de Joann Sfar, ou encore la pétulante et perspicace Hilda de Luke Pearson.

Manga City : Cette année encore, le Festival met le Manga à l’honneur avec un pavillon dédié de près de 3 000 m2, Manga City. Installé près de la Médiathèque du Grand Angoulême. S’y tiendront les stands éditeurs et de très nombreuses rencontres, master class et expositions.
Des spectacles pour toute la famille : Avec les carnets de Cerise au théâtre d’Angoulême, mais aussi un dimanche en famille dans l’espace jeunesse, avec le Petit Vampire, Les sardines de l’espace, l’élève Ducobu et bien d’autres encore…

Angoulême met en place des navettes Möbius gratuites qui permettent à tous de profiter à plein du FIBD :

Jeudi 30 et vendredi 31 janvier : Toutes les 8 minutes de 9h45 à 19h45.
Samedi 1 et Dimanche 2 Février : Toutes les 6 minutes de 9h45 à 20h00.

Etudier à Angoulême, une ville créative reconnue par l’UNESCO !

Située à moins de 2 heures de Paris et à 35 minutes de Bordeaux par train, Angoulême présente les qualités d’une ancienne cité médiévale, à taille humaine, où le coût de la vie reste raisonnable… Voici trois arguments qui font d’Angoulême une ville qui offre un environnement paisible où il fait bon vivre et étudier !
Angoulême propose tous les avantages d’une ville culturelle et artistique. En octobre 2019, elle a fait son entrée dans le réseau des Villes créatives de l’UNESCO au titre de la littérature. Cette reconnaissance lui permet non seulement de mettre en lumière la longue tradition industrielle de fabrication de papier, d’imprimerie et d’édition qui s’est développée depuis le XIX° siècle. La Ville d’Angoulême est aujourd’hui mondialement connue pour son Festival International de la Bande Dessinée, créé en 1974 par un groupe de passionnés et qui accueille chaque année plus de 200 000 visiteurs fin Janvier. La Ville d’Angoulême apportera dorénavant son expérience en matière de Bande Dessinée aux autres villes créatives du réseau de l’UNESCO !

Le CUC a 30 ans !

Le CUC (centre universitaire de la Charente) a 30 ans, l’occasion de féliciter les étudiants des promotions 2019 de toutes ses filières lors d’une cérémonie de remise des diplômes pour laquelle le CEPE était représenté par Inés de la Ville, Olivier Rampnoux et 3 étudiantes du Master 2 IAE de Poitiers – Design Communication et Packaging : Justine Lorin, Laure Piquereau et Aurélie Yee.
A noter également la présence dans l’assistance des étudiants du Master 2 IAE de Poitiers – Marques et Produits Jeunesse 2019 !30 ans CUC

Master 2 Marketing, Vente – 2nde Session de recrutement 2019

Rejoignez le MASTER 2 MARKETING, VENTE, qui apporte une spécialité originale pour accéder aux métiers de la fonction marketing, dans l’univers des Marques et Produits Jeunesse, du Design, de la Communication et du Packaging.

♦ Formulaire de candidature en ligne : Inscription Master 2ème année – Marques et Produits Jeunesse

Candidatures : du 05 juillet au 23 août 2019 – Entretiens : 30 août 2019

♦ Formulaire de candidature en ligne : Inscription Master 2ème année – Design Communication et Packaging

Candidatures : du 05 juillet au 23 août 2019 – Entretiens : 30 août 2019

Contact :

Sandrine DA CONCEICAO : sandrine.da.conceicao@univ-poitiers.fr / 05 45 21 00 11

Tintin et Astérix au cinéma

Le jeudi 4 et vendredi 5 octobre ont eu lieu les 3ème rencontres nationales de la bande dessinée à Angoulême. Cette année, le thème était « Bande dessinée et cinéma : du dessin à l’écran ».

Lors de la conférence « Tintin et Astérix au cinéma », Gilles Colas a abordé les tenants et les aboutissants des adaptations de ces deux personnages cultes de la bande dessinée au cinéma.

En ce qui concerne Tintin, Hergé, son créateur s’est dès le début inspiré du cinéma comme par exemple dans « Tintin au Congo » où le jeune homme essaye de filmer des animaux avec sa caméra, savant mélange de documentaire et d’humour. De nombreux clins d’œil au 7ème art sont présents dans les albums de Tintin comme le singe dans l’Ile Noire (qui fait référence à King Kong) ou des allusions à Alfred Hitchcock.

Beaucoup d’adaptations de l’œuvre d’Hergé ont vu le jour que ce soit au cinéma (Philippe Lambard avec « Tintin au cinéma »), au théâtre avec des marionnettes et même des adaptations télévisées. Le film de Spielberg et Peter Jackson « Les aventures de Tintin : le secret de la licorne » développe l’esthétique inhabituelle avec un mélange de prise de vue réelle et de réalité augmentée. Cependant, le point le plus discutable reste la vulgarité présente dans le film, vulgarité quasi inexistante dans l’œuvre originale de Hergé qui peut s’expliquer par la volonté des scénaristes de toucher un public large.

Astérix est l’œuvre majeure de Goscinny, scénariste qui a également écrit Lucky Luke, Iznogoud ou le Petit Nicolas. Goscinny aimait faire des caricatures de personnes célèbres comme Alfred Hitchcock ou Wallace Beery. Le cinéma est également omniprésent dans ses œuvres comme par exemple dans « Le Petit Nicolas » où celui-ci adore aller voir des films de chevaliers, de mousquetaires ou même des westerns.

L’adaptation d’Astérix au cinéma révèle une certaine frénésie : un tous les deux ans depuis près de quatre décennies. Pourtant, tout n’a pas toujours été simple … Après avoir sorti « Astérix le Gaulois », Goscinny et Uderzo apprennent par hasard qu’un film est en préparation et allait quasiment sortir dans les cinémas sans leur accord. Malgré un succès considérable en salle, les auteurs ont interdit à la production de sortir les 2 autres films prévus. Goscinny a ainsi pu créer un peu plus tard les « Studios Idéfix » avec lesquels il a pu produire de nombreux films consacrés au héros gaulois.

L’introduction des effets spéciaux a permis aux réalisateurs de produire des films en prise de vue réelle. Avant cette technique, il était assez compliqué d’avoir un acteur difforme qui correspondait au graphisme de bande dessinée. De ce moment-là sont nés d’immenses succès comme Astérix et Mission Cléopâtre, quatrième film français de l’histoire.

De nos jours, les nouvelles générations découvrent les personnages en regardant les films au cinéma et ils liront ensuite les albums, comme ce fut le cas pour Astérix. Notons également le fait que ces personnages sont intergénérationnels et plaisent aux petits comme aux grands.

Une citation d’Alain Chabat témoigne du talent de Goscinny : « Adapter un Astérix ou un album de Goscinny, c’est vraiment un boulot de fainéant parce que tout est fait. »

Nous remercions Gilles Colas pour son intervention fort enrichissante sur cet univers foisonnant dont la dernière adaptation a été en 2018 Astérix et le secret de la potion magique !

Par Jérémy MASSONDE, Andrea AROSTEGUY & Maëlys FOUCHE, étudiants en M2 MPJ

De Buck Rogers à Barbarella : la science-fiction de la case à l’écran

En ce jeudi 4 et vendredi 5 octobre 2018, s’est tenu à la Cité la troisième édition des Rencontres nationales de la bande dessinée. Sous le titre bande dessinée et cinéma : du dessin à l’écran, l’édition 2018 est consacrée au phénomène des transpositions de bandes dessinées à l’écran.

Au cours de cette rencontre nous avons eu la chance d’assister à une intervention d’Harry Morgan, théoricien de la bande-dessinée, romancier et auteur de bande-dessinée français. Sous le thème « De Buck Rogers à Barbarella : la science-fiction de la case à l’écran », Harry Morgan nous explique les raisons pour laquelle il a choisi comme adaptation cinématographique les bandes dessinées de science-fiction Buck Rogers et Barbarella.

Tout d’abord, à l’instar de Buck Roger, Barbarella est une adaptation fidèle d’une bande dessinée. Mais, elles ont un point commun, c’est d’avoir reçu un accueil mitigé de la part des critiques. De plus, Harry Morgan souligne l’avantage de l’univers de science-fiction qui est un univers de pure imagination, il n’y a donc aucun risque de ressemblance accidentelle. Ainsi, par sa présentation Harry Morgan soulève plusieurs questions.

Quelles peuvent être les raisons de se détacher d’une bande-dessinée pour en faire une adaptation cinématographique ?

Buck Rogers in the 25th Century : un film produit par Glen A. Larson en 1979

Publié pour la première fois dans un journal le 7 janvier 1929 sous le nom de « Buck Rogers in the Year 2419 A.D », Buck Rogers est plongé dans un sommeil latent en 1929 après avoir inhalé des vapeurs d’une mine abandonnée.  Quand il se réveille 500 ans après, soit en 2419, il fait la connaissance de Wilma Deering qui lui apprend que l’Amérique est envahie par les Mongols. L’Amérique des années 20 qu’il a connu est devenue une Amérique vieillie de 500 ans mais qui bénéficie de 500 ans de progrès technologique avant notamment les premiers pistolet à rayon laser désintégrateur.

Pour son adaptation cinématographique, l’enjeu était de coller parfaitement au genre de science-fiction qui connaissait un succès retentissant depuis 1977 avec la sortie du film « Star Wars : La Guerre des Etoiles ». Buck Rogers ne se réveille pas 500 ans après en Amérique mais au milieu de l’espace où après un phénomène inattendu il se fait cryogéniser. Attendre 1979 est également une date clé puisqu’il s’agit de l’anniversaire des 50 ans de la première publication du comic strip. La production de cette adaptation cinématographique a privilégié des enjeux commerciaux, au détriment même de la nature de la bande dessinée originale.

Pourquoi la retranscription fidèle de la bande-dessinée Barbarella n’est pas synonyme de bonne adaptation cinématographique ?

Barbarella : un film produit par Roger Vadim en 1968

Créée en 1962 par Jean-Claude Forest et parue dans les pages du V Magasine, Barabarella raconte les aventures d’une terrienne en exil qui explore les planètes de la galaxie.

Le film ne pouvait pas être plus fidèle à la bande-dessinée. La ressemblance frappante entre les acteurs et les personnages, l’intrigue, les décors, le scénario, tous les éléments y sont.

Mais, est-ce que cela suffit pour que cela fonctionne ?

A sa sortie, le film a reçu un avis mitigé le qualifiant par la presse anglaise de camp. Associé souvent au terme kitch, camp est défini comme quelque chose de tellement mauvais, que la seule réponse que l’on puisse faire c’est d’en rire. Une des principales raisons de cette qualification est dû à la maladresse de la retranscription de la narration qui, chez Forest, est le détachement ironique. Ainsi, dans le film, le second degré mal maîtrisé et volontairement exagéré qui ne fait qu’accentuer l’effet d’auto-parodie et fait donc cette adaptation cinématographique un échec.

Harry Morgan nous montre la difficulté de créer avec les moyens du cinéma une narration qui produise le même effet que la bande-dessinée. Ainsi, adapter une œuvre fidèlement avec l’exemple de Barbarella ou s’en détacher avec Buck Roger ne garantit en rien une adaptation réussie.

On pourrait alors se demander s’il existe une méthode parfaite pour faire d’une bande-dessinée une bonne adaptation cinématographique ? Malheureusement, il n’en existe pas !

Cependant, Sin City, Largo Winch, The Avengers, Snowpiercer… Il existe des adaptations cinématographies de bande-dessinées qui ont reçu un avis très favorable et qui sont devenus LES références en matière d’adaptation cinématographique. Alors quelle meilleure idée que de demander à John Whedon -réalisateur de deux films qui font partie des dix plus gros succès commerciaux de l’histoire du cinéma : Avengers et Avengers : l’Ere d’Ultron- de dévoiler son secret !

“It’s capturing the essence of the comic and being true to what’s wonderful about it, while remembering that it’s a movie and not a comic.” Sa réponse, bien qu’apparente évidente, devrait être entendue par tous ceux qui se sont déjà confrontés à l’adaptation cinématographique de bandes dessinées.

Par Yvanilde PANONT, étudiante en M2 MPJ

Un panel de stages variés pour les étudiants du Master Marques et Produits Jeunesse

Chaque année les étudiants du Master 2 Marques et Produits Jeunesse – CEPE –IAE de Poitiers partent en stage de fin d’année (3 mois en master 1 et 6 mois en master 2).

Le CEPE enseigne à ses étudiants les enjeux d’un marketing plurimédia responsable envers la jeunesse. Du comportement de l’enfant utilisateur au marketing digital, en passant par la gestion de projets soumis par les entreprises partenaires, les étudiants sont amenés à réfléchir à la responsabilité sociale et environnementale (RSE) des marques envers la jeunesse et à faire preuve de prudence pour choisir les meilleures modalités de valorisation de la marque qu’ils sont appelés à gérer.

C’est pourquoi la formation bénéficie d’une solide réputation auprès des employeurs. Les étudiants de master 2 se voient ouvrir les portes d’entreprises dans toute la France ou à l’étranger telles que Casterman, Le Parc Astérix, Hachette Comics, Brain Value, King Jouet, Smoby Toys, Nova Child, Hasbro France, Ubisoft, Groupe Royer, Groupe Savencia, Bubble BD, VTech Electronics Europe, Millimages, France Télévisions, Paymobil, pour leurs stages de pré insertion professionnelle de 6 mois.

Les missions de stage sont également riches et très variées telles que : assistant-e Trade Marketing, assistant-e Chargé-e d’études, assistant-e licences, produits dérivés et digital, assistant-e Chef de Produit, assistant-e Responsable développement produits éducatifs, assistant-e développement et animation de réseaux, Chef de Produit digital junior, Community Developer, assistant-e coordination packaging, Lancement d’une marque, Community Management, assistant-e Chef de Projet Packaging…

Les soutenances de stage de Master 2 auront lieu les fin septembre 2019. Elles sont publiques afin de permettre à la promotion entrante de découvrir les missions effectuées par les futurs diplômés.

Intervention de Vincent Berry

Vincent Berry est maître de conférences en sciences de l’éducation à l’université Paris 13 et membre de l’équipe de recherche « Loisirs, jeu et objets culturels de l’enfance » au sein du laboratoire EXPERICE. Il est enseignant-chercheur au master « Sciences du jeu », ses travaux portent sur l’analyse du jeu (vidéo), des (nouveaux) médias et des produits culturels de masse en s’attachant plus particulièrement à comprendre la place qu’occupent aujourd’hui les loisirs dans la vie sociale et leurs effets en termes d’apprentissage(s).

Au sein de son analyse du jeu (vidéo), il s’intéresse plus particulièrement au développement le plus récent de ce secteur : les mondes virtuels et les jeux en ligne sur Internet. Sa thèse analyse ainsi la pratique des jeux de rôles en ligne massivement multi-joueurs, tels que World of Warcraft, dans une approche ethnographique et sociologique, analysant les industries, les publics, les usages et l’impact des mondes virtuels dans l’espace social, familial, culturel des joueurs.

Axes de recherche :

  • Jeux vidéo et loisirs : usages, pratiques et industries du jeu
  • Internet : analyse des pratiques et des communautés virtuelles
  • Théories de l’apprentissage situé et des communautés de pratiques
  • Théories du jeu

Il est l’auteur d’une enquête sociologique sur la pratique des MMORPG, publiée en 2012 aux Presses Universitaire de Rennes : L’expérience Virtuelle : jouer, vivre, apprendre dans un jeu vidéo.

« En s’affranchissant d’un certain nombre de paniques morales au profil d’une analyse empirique des pratiques, cet ouvrage propose une ethnographie des mondes virtuels et des habitants qui fréquentent ces jeux vidéo. Il analyse la notion d’expérience virtuelle entendue comme ce que ces mondes numériques « font et font » à leurs habitants, comment ils sont vécus, quelles significations ils produisent, quels savoirs et compétences ils mobilisent. La relation entre jeu et apprentissages informels est ainsi interrogée. »

Principales publications

 

Berry Vincent,  Que trouve-t-on dans une chambre d’enfant ? Un inventaire de la culture matérielle enfantine. In Brougère G., Dauphragne A. (dir.). Les biens de l’enfant dans l’espace domestique. Paris : Nouveau Monde, 2017.

Berry Vincent, « Des groupes de joueurs au groupes « de potes » : sociométrie des guildes dans les MMORPG ». In Martin O., Dagiral E. (dir.), Internet au quotidien. Paris : Armand Colin, p. 58-80, 2017.

– Berry Vincent, L’expérience virtuelle : jouer, vivre, apprendre dans un jeu vidéo, Rennes : Presses Universitaires de Rennes, 2012

– Berry Vincent, Sociologies des MMORPG et profils de joueurs : pour une théorie sociale de l’activité (vidéo) ludique, Revue des Sciences Sociales, n°45, 2011

– Berry Vincent, Du jouet au jeu vidéo et réciproquement, in Dorothée Charles et Bruno Girveau, Paris, éditions de la RMN-Grand Palais, 2011

– Berry Vincent, Loisirs numériques et communautés virtuelles : des espaces d’apprentissage ?, in Brougère Gilles, Ulmann Anne-Lise (dir.), Apprendre de la vie quotidienne, Paris : Presses Universitaires de France, 2009, pp. 143-153.

– Berry Vincent (dir.), Les communautés de pratiques, Pratiques de formation : Analyses, n°54, mai 2008

Sources :

http://www.observatoire-omic.org/fr/aut/46/vincent-berry.html

http://ichsl7.paragraphe.info/vincent-berry

https://experice.univ-paris13.fr/membres/enseignants-chercheurs/vincent-berry/

 

Etudiants en Master 2 MPJ