Le titre de cette chronique pourrait prêter à confusion quant à l’intérêt que l’on doit porter à cet OMNI (Objet Morbide Non Identifié) qu’est Yo-Yo Post Mortem. Qu’on ne s’y trompe pas, il fait simplement écho à l’intitulé de ce premier tom(b)e : Mourir nuit gravement à la santé.
En restituant les termes adéquats, on reconnaitra aisément ces types d’avertissements présents sur des supports appropriés. On comprendra par la suite que le titre de ce premier opus fait référence à la cause du décès du héros principal.
L’auteur de cette BD, Gilles Le Coz, ne triche pas avec nos émotions : Lire la suite