L’œuvre prolixe de Louis-Sébastien Mercier, écrivain des Lumières

fd-1452-1_003

L’an deux mille quatre cent quarante : rêve s’il en fût jamais ; suivi de L’homme de fer : songe / Louis Sébastien Mercier.- [S.l.] : [s.n.] , 1786 ( Poitiers, Bibliothèques universitaires, Fonds ancien, FD 1452)

Issu de la petite bourgeoise parisienne, Louis-Sébastien Mercier naquit à Paris en 1740 et y mourut en 1814, après avoir joué un rôle actif pendant toute la période révolutionnaire, puis critiqué l’Empire (il se tint alors à l’écart de la vie politique).

Il étudia au Collège des quatre nations, qu’il n’apprécia guère, puis devint régent au Collège de la Madeleine à Bordeaux. Mais ce poste ne lui plut pas ; il décida alors de vivre de sa plume. Plus tard, il revint aux questions liées à l’enseignement en étant rapporteur sur les problèmes d’éducation sous la Convention et au Conseil des Cinq-cents ; il fut également professeur d’histoire dans les Écoles centrales. Lire la suite