Revue de Presse #8

Votre service de documentation a parcouru la presse et le web afin de vous proposer des pistes de lectures, réflexions, et aiguiser votre curiosité. A découvrir donc ci-dessous : Boby Lapointe et les maths, du roller, l’invention du velcro, un fameux saut en parachute, et d’autres sujets encore.

– Pourquoi les filles sont dingues du roller derby. à lire sur Rue 89

– Changement d’heure : pas si utile que ça. à lire sur Terra Eco (article de 2010)

– Séisme de L’Aquila : les scientifiques condamnés à six ans de prison. à lire sur Le Monde

– Les cookies, le mauve, le velcro : les inventions dues au hasard. à lire sur Slate

– Mardi, the limit is the sky. Un point de vue scientifico-humouristique en dessins concernant le saut en parachute de Félix Baumgartner à lire sur le blog de Marion Montaigne

– Stochastically Orthogonal. Ou comment les robots s’invitent dans la rédaction d’articles scientifiques, à lire sur The London Review of Books

– Boby Lapointe, chanteur et matheux inventeur de la numérotation Bibi. à lire sur Sciences et Avenir

– L’arbre de l’évolution à l’heure numérique. à lire sur Science infuse

– La pénible mort des données. à lire sur Pourquoi Comment Combien

Bonne lecture, bonne navigation !

Nos chercheurs publient : octobre 2012

Extrait article S. Papot et alii, Angewandte chemie

Chaque mois, l’activité des chercheurs de l’Université de Poitiers se traduit par la publication de plusieurs dizaines d’articles dans des revues académiques à comité de lecture et/ou dans des archives ouvertes. Il nous semblait intéressant de donner une vue synthétique de ces publications afin de mieux faire percevoir la quantité et la nature des recherches conduites dans notre établissement. La liste ci-dessous recense ainsi une partie des publications de nos chercheurs concernant les domaines des sciences « dures » au cours du mois d’octobre 2012. Cette liste ne saurait néanmoins prétendre à l’exhaustivité, se restreignant notamment aux revues accessibles via les abonnements (papier ou électronique) souscrits par les BU de Poitiers. Elle permet cependant déjà nous semble-t-il d’avoir un aperçu de l’activité des chercheurs de l’Université et des résultats de leurs travaux. Nous essaierons régulièrement de proposer ce genre d’inventaire au cours des prochains mois, sous cette forme ou sous une autre.

Acoustique
Biomécanique
Chimie
Géosciences
Immunologie
Mathématiques
Mécanique des fluides
Paléontologie
 Physique des matériaux
Sciences de la vie
Sciences du sport et du mouvement
 Tribologie

 

Une partie des laboratoires de sciences fondamentales et appliquées proposent sur leurs sites respectifs des listes des publications de leurs chercheurs. Vous retrouverez ainsi celles :

Les thèses microfichées

 
Microfiches Thèse

Thèses microfichées

A l’heure où l’on met en avant les facilités de la documentation électronique, on oublie parfois qu’il existe encore d’autres supports de lecture.
Parlons de la microfiche, une petite fiche en plastique d’environ 10×15 cm sur laquelle on peut distinguer 14 rangées de 28 reproductions de pages, soit près de 400 pages.

Certes, rien n’est visible à l’oeil nu, mais la BU possède un lecteur de microfiches qui permet d’agrandir le texte de ces microfiches. De plus, ce lecteur est relié à une imprimante, il est donc possible d’imprimer en partie le document consulté.

Tout cela est intéressant, mais que pourrez-vous lire sur ces microfiches ? La BU sciences propose sous forme de microfiches toutes les thèses de sciences soutenues dans les universités françaises depuis 1986 jusqu’à aujourd’hui.

Vous êtes intéressé ? Commencez par consulter le catalogue SUDOC pour repérer le nom de l’auteur, le lieu et la date de soutenance. Puis vous pouvez nous communiquer ces références et nous vous inviterons à consulter la microfiche sur le lecteur mis à votre disposition.

Libre parcours : épisode 5

Pour conclure notre série sur l’Open access, nous vous présenterons aujourd’hui quelques outils qui vous permettront de retrouver des ressources en libre accès sur le web.

Plusieurs moteurs de recherche interrogent spécifiquement les archives ouvertes et les ressources en open access. On citera par exemple OAIster, moteur développé à l’origine par l’Université du Michigan et qui « moissonne » plus de 23000000 de documents provenant de plus de 1100 sources. Parmi les moteurs « spécialisés » dans les archives ouvertes, on mentionnera aussi Scientific Commons ou BASE, développé par l’université allemande de Bielefeld. Le moteur Scirus, spécialisé dans les ressources académiques, permet de restreindre sa recherche aux ressources en libre accès en mode recherche avancée. Il en va de même pour Google Scholar, qui « ramène » lui aussi des résultats issus de l’open access (mais pas seulement).

Des annuaires (ou répertoires) listent également des ressources disponibles en accès libre. Le Directory of Open Access Journals (DOAJ) répertorie ainsi les revues à comité de lecture en open access. Le site Open DOAR est lui un annuaire d’entrepôts d’archives ouvertes.

Enfin, le site OpenAccess.net, même si les dernières mises à jour datent de déjà 2 ans, liste une série de ressources en libre accès par disciplines scientifiques, dont la plupart existe encore aujourd’hui.

Nous espérons que ce cycle d’articles vous aura fourni une première approche des ressources disponibles en open access sur le web et vous aura un minimum sensibilisé à la question. Nous nous efforçons pour notre part de mettre en valeur, à côté des ressources disponibles dans nos bibliothèques, des ressources en libre accès chaque fois que celles-ci peuvent se révéler pertinentes pour vous. L’Open Access Week dure jusqu’à dimanche.

 

 

Libre parcours : épisode 4

Après les entrepôts d’archives ouvertes, les revues en libre accès et les bibliothèques numériques, le nouvel épisode de notre série de la semaine consacrée à l’open access est aujourd’hui dédié aux thèses en ligne.

De nombreux universités et établissements de recherche français cherchent à mettre en valeur la production scientifique de leurs doctorants en diffusant en ligne les thèses soutenues en leur sein, après avoir obtenu l’accord des auteurs bien entendu. C’est le cas à l’Université de Poitiers via le site UPthèses, qui existe depuis 2008.

On ne dressera pas ici une liste exhaustive des sites de diffusion de thèses en texte intégral existant dans l’enseignement supérieur français, on se bornera à rappeler ici l’existence de l’outil indispensable à connaître pour retrouver une thèse française et accéder si possible à sa version en ligne : theses.fr. Géré par l’Agence bibliographique de l’enseignement supérieur (Abes), ce site vise à devenir le point d’accès à l’ensemble des thèses françaises soutenues depuis 1985 en assurant leur signalement exhaustif – y compris pour les thèses en préparation.

L’archive ouverte du CNRS, HAL, dispose d’un sous-ensemble spécialement dédié aux thèses, TEL (Thèses En Ligne). TEL est alimenté par l’auto-archivage des auteurs et regroupe à la fois des thèses et des habilitations à diriger des recherches. Le dépôt peut néanmoins être institutionnalisé au sein d’un établissement qui peut disposer d’une « collection » spécifique au sein de l’environnement TEL. A savoir également : ParisTech, réseau de 12 grandes écoles d’ingénieurs et de management de Paris et sa région, dispose de son propre outil de mise en ligne des thèses, dénommé PASTEL.

D’autres outils existent au niveau international pour retrouver des thèses étrangères en texte intégral. A l’échelle européenne, on peut ainsi se reporter à DART Europe dans lequel sont accessibles les thèses de 19 pays européens (voir ici la liste des contributeurs). Le site de l’ABES propose une liste de différents sites étrangers sur lesquels vous pouvez retrouver des thèses en ligne.

La mise en ligne d’autres travaux d’étudiants (mémoires, thèses d’exercice…) tend également à se développer. On pourra ainsi consulter DUMAS, base de travaux d’étudiants de niveau bac+4 et bac+5. La base est hébergée par HAL mais l’auto-archivage n’est ici pas de mise, le dépôt se faisant sur l’initiative de l’institution de  soutenance. Du côté des universités françaises, on pourra aller voir la plateforme PETALE développée par l’Université de Lorraine et qui offre une interface unique d’accès à différents types de productions scientifiques de l’université : des thèses de doctorat mais aussi des mémoires et des thèses d’exercice.

 

 

 

 

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