Vente Privée : découvrez le secret de ce business modèle à succès

VeePee, connu aussi sous le nom de Vente-Privée, est le premier site de flash sales ou ventes événementielles en France. Sylvain Boujou, Directeur Commercial chez VeePee sur les catégories Sport, Beauty et Kids, a passé une journée au CEPE et nous avons pu découvrir le fonctionnement de ce business modèle unique au succès fulgurant ainsi que sa stratégie marketing 360°.

Business Modèle

Le site VeePee peut être vu par certains comme un site e-commerce, mais en fait le modèle économique du site VeePee est basé sur le concept des flash sales, c’est-à-dire que ses ventes sont limitées en termes de volume et surtout dans le temps. Une campagne, comme on l’appelle la période de vente d’une marque précise, dure entre 3 et 5 jours, ce qui crée un effet d’opportunité. Le site s’est développé sur la base d’un concept original, celui d’un club privé où, pour accéder aux offres, il faut être parrainé par un membre du site.

Dans un premier temps, le site développait ses campagnes avec des marques de mode, puis il a progressivement augmenté la variété des produits offerts. Aujourd’hui, il existe plus de 3 000 marques partenaires dans les segments les plus divers tels que le prêt-à-porter, les accessoires de mode, les équipements de maison, les jouets, les articles de sport, la haute technologie, la gastronomie…

Le modèle économique VeePee permet aux marques d’écouler leurs stocks sans affronter le risque d’être dévalorisées : il s’agit de donner une deuxième vie aux produits de manière créative et de permettre aux consommateurs d’obtenir des produits qu’ils aiment à un prix compétitif.

Stratégie Marketing

Bien qu’il s’agisse d’une activité de e-commerce, le site investit peu dans le marketing digital.  En effet, VeePee est devenu un succès en étant considéré comme un véritable club privé. Pour faire partie du club, on doit être invité. Ceux qui font déjà partie du club et invitent leurs amis reçoivent un bon d’achat de 10 euros à dépenser sur le site*, ce qui crée l’effet bouche à oreille, considéré encore comme l’une des stratégies marketing les plus rentables qui n’a pas besoin de recourir à des dépenses publicitaires.

En outre, le temps de vente limité crée une frénésie chez les clients qui attendent avec attention le lancement des campagnes de leurs marques préférées, au point de régler un réveil pour se rappeler l’heure du lancement d’une campagne afin de pouvoir profiter des meilleures offres.

Pour se consolider dans le marché global, VeePee a racheté ses concurrents qui avaient le même modèle économique en Europe et a choisi de converger vers une marque mondiale unique, avec la proposition d’une valeur de marque unique dans tous les pays, d’où elle passe de Vente-Privée à VeePee, tout en maintenant le concept VIP.

Mobile First

Un autre point sur lequel la marque s’appuie pour créer un véritable univers Pink est l’expérience utilisateur. Toutes les fonctionnalités créées sur le site sont conçues pour l’utilisateur actuel, qui effectue ses achats principalement par téléphone mobile.

Le site dispose d’une version mobile entièrement adaptée aux écrans les plus divers ainsi que d’une application développée en IOs et Android pour faciliter encore plus l’expérience utilisateur. Les tests et mises à jour font partie de la routine des développeurs qui sont attentifs aux meilleures et dernières pratiques dans l’univers des ventes en ligne.

Pour nous, étudiants du CEPE, ce fut une expérience extraordinaire de pouvoir comprendre de l’intérieur les choix stratégiques qui font le succès de VeePee, de pouvoir poser nos questions sur l’univers du e-commerce. Un très grand merci à Sylvain Boujou d’avoir partagé avec nus cette expérience et aussi d’autres qui font partie de sa brillante carrière.

* Voir les conditions sur le site.

Par Elisangela ASSIS DO NASCIMENTO, étudiante en M2 MPJ

Gérer un portefeuille de 25 jeux vidéo, c’est loin d’être simple…

Nous avons eu le plaisir de réaliser un exercice grandeur nature de gestion de portefeuille de produits avec Monsieur Fabrice Chaland, « associate producer » chez Ubisoft (site de Bordeaux).

Après un rapide tour de table afin d’apprécier les niveaux de connaissance en jeux vidéo de chacun, il nous a présenté le marché du jeu vidéo, le fonctionnement d’Ubisoft ainsi que des notions clés telles que la définition d’un “portefeuille de titres” pour une marque, ou la segmentation des développeurs en trois parties (First, Second et Third). Cela nous a permis de mieux comprendre comment un jeu vidéo est pensé, développé, marketé puis distribué, ainsi que les nombreux liens qui unissent différents types d’acteurs sur le marché : développeurs, éditeurs, distributeurs, constructeurs, prestataires, organismes de financement (publics ou privés).

Il nous a présenté le défi qu’il a imaginé pour les étudiants du Master 2 Marques et Produits Jeunesse : conseiller l’éditeur ATARI (dont il avait reconstitué un catalogue fictif à base de vrais jeux vidéo) afin de proposer une stratégie marketing 360° pour l’année fiscale suivante.

 À l’aide des données fournies sur le catalogue de notre “client”, sur le marché, ainsi qu’un tableau des coûts, chaque groupe a dû définir son business model, monter un budget cohérent, en faire la ventilation détaillée et proposer un rétro-planning marketing. Différentes contraintes – toutes parfaitement réalistes – se sont peu à peu rajoutées pour corser l’exercice… Chaque groupe a eu l’occasion de présenter en anglais sa stratégie, son rétro-planning ainsi que sa gestion des différentes crises survenues. La liberté accordée à chaque groupe dans son analyse du marché et son interprétation des données a permis de présenter quatre visions différentes de la stratégie à suivre.

Malgré sa complexité, ce projet a été très formateur nous obligeant à réfléchir à différentes échelles temporelles et géographiques, à prendre en compte un maximum d’informations pour parvenir à les croiser de façon systématique. Ce projet nous a fait prendre conscience du sens du détail requis pour mener à bien une stratégie marketing, mais aussi la minutie demandée par l’élaboration de son budget.

Cet exercice pratique nous a permis de comprendre le fonctionnement d’un budget en marketing mais aussi en général, de garder en tête que toute proposition doit être chiffrée mais aussi datée.

 Par Clément JAUNAY & Jérémy MASSONDE, étudiants en M2 MPJ

Interventions de Jorge GOMES PAREIN, France Télévision

Dans le cadre du cours de Management juridique et financier d’une propriété intellectuelle, nous avons bénéficié de deux interventions de Monsieur Jorge Gomes Parein.

Après des études en droit de la communication, M. Gomes Parein a débuté sa carrière dans un cabinet d’avocat spécialisé dans le droit des nouvelles technologies puis a participé à deux start-up l’une dans Internet puis la TV par satellite. M Gomes Parein est ensuite entré dans le groupe France télévision  où il vient de prendre la responsabilité de Data Protection Officer de la filiale, nouvelle fonction imposée par l’entrée en vigueur du RGPD en mai 2018 et ce après avoir occupé les postes de juriste aux Ventes Internationales, puis juriste Senior, puis Responsable SI, et Responsable du Service Opérations.

France télévision est le premier groupe Français audiovisuel en terme d’audience, il s’agit d’un groupe public, détenant les chaînes France 2, France 3, France 4, France 5, France 0, et participant à d’autre projets tels que France TV info ou TV5 monde. Disposant d’une filiale de production propre, de chaînes Youtube, de plateformes VOD…

Monsieur Gomes travaille pour France télévision distribution, filiale commerciale du groupe, en charge de commercialiser et/ou exploiter les droits de propriété intellectuelle  des différents programmes produits par ou pour les chaînes. Son travail a consisté à assister l’activité commerciale de FTD, puis mettre en place les outils informatiques permettant de gérer ces activités, ensuite de coordonner le service qui exécutait les contrats signés (livraison de matériel, fabrication DVD, gestion logistique) et dernièrement responsable de la mise en place de la conformité au RGPD pour répondre aux nouvelles normes et réglementations en matière de protection des données personnelles.

Premièrement, nous sommes partis de la création d’une œuvre pour voir comment naissent les droits qui vont être commercialisés et exploités par la suite (reproduction ou représentation). Expliquer la chaîne des droits : auteur, producteur, coproducteur, éditeur/diffuseur, distributeur/agent, détaillant, téléspectateur/consommateur que différents types de contrats qui les relient. Nous avons abordé les différents business models et leurs aspects financiers. D’autres types de financement sont également possibles grâce à des subventions émanant du CNC, ou aux obligations de financement de la création qui incombent aux des chaînes de télévisions.

Nous avons pu comprendre et illustrer l’ensemble de ces aspects au travers d’exemples concrets, comme la nouvelle série diffusée Sur France 2, “Un si grand soleil”.

Pour sa seconde intervention, Monsieur Gomes Parein s’est attardé sur chacun des business models. Il nous a initié aux enjeux propres au métier de distributeur de programmes audiovisuels. Nous avons abordé l’application pratique des principes de la propriété intellectuelle pour calculer les droits associés aux contrats de licensing, aux marques, ainsi que des notions comme le minimum garanti, le pourcentage de recettes, ainsi que les droits de reproduction. Nous avons également pu comprendre les problématiques auxquelles sont confrontés les distributeurs, avec une concurrence de plus en plus directe de la part des nouvelles plateformes de streaming et des services de vidéo à la demande.

Ces deux journées furent très enrichissantes, Monsieur Gomes Parein, a eu la capacité de rendre ses interventions vivantes, et a su favoriser les échanges et le dialogue avec les étudiants. Il a pris à cœur de partager son expérience et son expertise dans le secteur de la distribution avec nous, tout cela dans la bonne humeur !

Par Joachim NATALI, étudiant en M2 MPJ

Intervention de Julien VILLEDIEU, Délégué Général du Syndicat National du Jeu Vidéo

Nous avons eu le plaisir de rencontrer le Délégué Général du Syndicat National du Jeu Vidéo (SNJV), partenaire du CEPE-IAE, Monsieur Julien Villedieu.

Il a démarré son intervention en nous présentant le SNJV, c’est-à-dire l’histoire de ce syndicat, ses missions, ses objectifs, ses partenaires et ses réalisations. Intervenant dans le cadre du cours “Économie des médias”, Monsieur Villedieu est venu nous exposer la façon dont s’organise le marché des jeux vidéo.

Il est alors entré dans le vif du sujet en nous présentant les derniers chiffres du marché mondial. L’industrie des jeux vidéo a dépassé le seuil symbolique des 100 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2017, chiffre qui devrait continuer à croître rapidement. L’Europe représente 29% du marché, à égalité avec l’Amérique, et l’Asie-Pacifique 41%.

Il a ensuite évoqué le marché français, qui, en 2017, représentait 4.3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, auquel participent, au moins occasionnellement, 68% des français, et avec une activité riche de plus d’un millier d’acteurs économiques, pour environ 30.000 emplois, tourné à 58% vers le développement de jeux vidéo, à 8% vers l’édition, et enfin 44% dédiés aux autres activités liées (traduction, prestataires, …).

Enfin, il a conclu son intervention en abordant des aspects plus techniques, comme la chaîne de valeur, les business models ou encore la structure des revenus dans l’industrie du jeu vidéo. Par exemple, nous avons pu comprendre la grande diversité des business models, partagés entre le free-to-play, le freemium, le pay-to-play, le “ads in game”, et petit à petit le streaming, à la façon d’un Netflix mais avec des jeux vidéo. La structure des revenus a elle aussi beaucoup changé avec la dématérialisation des jeux : sur PC, Steam représente 93% du marché avec toujours plus de nouveaux jeux chaque année, (8000 en 2017). Cela signifie qu’il y a moins d’intermédiaires entre le joueur et le développeur, voire parfois plus aucun (du producteur au consommateur), et cela modifie forcément la répartition des revenus, mais aussi des coûts.

L’intervention de Monsieur Villedieu a été très enrichissante sur de nombreux aspects. Nous avons pu entrer dans les détails de l’industrie des jeux vidéo et prendre conscience de tout ce qui se cache derrière le produit fini, ainsi que voir l’importance de cette industrie culturelle dans le paysage mondial actuel.

Par Clément JAUNAY, étudiant en M2 MPJ

Intervention Cyril BECHEMIN – IGS-CP

Cyril BECHEMIN…une intervention  « augmentée »

Le 28 novembre 2018, et pour la deuxième fois en moins d’un mois, nous avons accueilli Mr Cyril BECHEMIN, Directeur adjoint chez l’un des acteurs majeurs en France sur le marché du traitement du texte et de l’image pour l’édition : le groupe IGS-CP

Lors de cette seconde intervention, il nous a transporté vers l’univers du livre numérique et de ses vertus tout en explicitant la différence qui existe entre ce type de livre et le livre papier.

 « Le livre numérique représente un écosystème complexe »

Il nous a fait part pour l’occasion des formats qu’il adopte ainsi que de ses différentes typologies.

Avoir rencontré ce spécialiste du monde des livres nous a été d’une véritable richesse : notre compréhension en matière d’édition s’est consolidée, et nos connaissances des différents acteurs et des business models se sont grandement élargies.

Nous qui pensions que le livre s’arrêtait à un format papier ou numérique, n’avions guère imaginé qu’il serait à son tour touché par les innovations technologiques et l’évolution des pratiques de lecture. Monsieur BECHEMIN nous a surpris avec les livres à réalité augmentée, en nous invitant même à partager cette expérience unique à travers une application que nous avons téléchargée.

Nous avons donc été spectateurs d’un livre qui s’anime sous nos yeux, où personnages et mots se fondent pour éclater en une magnifique pirouette poétique.

Une expérience que nous vous invitons, lecteurs, à partager en vous inscrivant au CEPE, où d’autres intervenants et grands professionnels comme celui-ci ne manqueront pas de vous surprendre …

Par Narimane AYAD, étudiante en M2 MPJ

Jérôme Saltet, Co fondateur de PLAY BAC, « Grand Témoin » du CEPE

Le CEPE  accueillera le mardi 2 février 2016 Jérôme Saltet,  Directeur associé et cofondateur de l’entreprise PLAY BAC.

PhotoJérôme Saltet interviendra la journée en qualité de « Grand Témoin » auprès des étudiants du CEPE d’Angoulême, dans le cadre du cours « Manoeuvres Stratégiques et Marchés Mondiaux ». Cette journée sera l’occasion pour les étudiants d’échanger sur divers métiers de la fonction marketing au sein d’entreprises s’adressant à la jeunesse.

Dans l’après-midi, Jérôme Saltet animera une conférence sur le thème « Play Bac : une entreprise engagée ». Il développera entre autre l’histoire de l’entreprise, pourquoi il lui a semblé important de s’engager dans un projet ambitieux, pour conclure sur les défis qui nous attendent, Play Bac et les étudiants du CEPE, au XXIe siècle.

BIOGRAPHIE

Image Mon QuotidienJérôme Saltet, est né en juin 1960. Il est l’un des trois créateurs, avec ses amis François Dufour et Gaëtan Burrus, de l’entreprise Play Bac. Il est le co-inventeur des Incollables, l’un des jeux éducatifs les plus vendus au monde (50 millions d’exemplaires), et de Mon quotidien, le premier journal quotidien pour enfants en Europe.

Jérôme Saltet est diplômé de Sciences Po Paris. Déjà bachelier en 1979, il a repassé son bac incognito sans réviser en 2006, en obtenant la mention Bien. Il est auteur ou coauteur de plusieurs livres pédagogiques (Apprendre à apprendre, Coach Collège, Changer le collège c’est possible). Il dirige le projet à but non lucratif de Play Bac : créer au sein de l’Education nationale un collège révolutionnaire.Il est membre du Conseil scientifique de l’enseignement scolaire.

Jérôme Saltet a été par ailleurs de 2006 à 2008 président de la Fondation La Vie au Grand Air, fondation qui vient en aide aux enfants en grandes difficultés.

Dans les coulisses du Studio 2 minutes …

DSC_0273 (002)C’est avec passion qu’Anthony Combeau, ancien étudiant du CEPE et aujourd’hui directeur du Studio 2minutes à Angoulême, nous a fait découvrir l’univers du dessin animé.

Au plan mondial, le marché de l’animation est dominé par 5 pays dont la France. A lui seul, l’Hexagone représente 40 % de la production européenne ce qui en fait donc le N°1 en Europe. Son savoir-faire créatif et technique dans la production d’animation est très convoité au sein des studios européens mais aussi d’outre-atlantique…

La production d’une série d’animation se réalise le plus souvent en collaboration avec les diffuseurs qui subventionnent la majeure partie de la production (27.2% en 2013). En effet, l’industrie de l’animation est très subventionnée en France : plusieurs acteurs interviennent en parallèle des diffuseurs afin de financer les productions comme par exemple le Centre National du Cinéma et de l’Image Animée (anciennement CNC), les coproducteurs et les préventes à l’étranger. Aujourd’hui, face à des difficultés de financement récurrentes, la majorité des productions émane de la demande des diffuseurs et rares sont les projets de créations issus des studios de production.

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Ubisoft au CEPE

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Cette année, le CEPE-IAE de Poitiers a la chance de travailler avec Ubisoft !

Antoine Bocage-Marchand et Amy Jenkins, respectivement DRH et Directrice du Développement à Ubisoft France, sont venus au CEPE, pour nous présenter un projet encore confidentiel auquel ils aimeraient nous associer…

 

 

Antoine et Amy ont pris le temps de nous présenter le marché des jeux vidéos, en France et dans le monde, ainsi que leur entreprise, avant d’entrer dans le vif du sujet et de nous faire découvrir le beau projet pour lequel nous allons travailler! Ils nous ont mis au courant des dernières évolutions du marché, ainsi que  de la stratégie adoptée par Ubisoft pour maintenir sa position de leader dans les années à venir.

Ubisoft est en effet le troisième éditeur mondial de jeux vidéos et s’est spécialisé dans la création de jeux « open-world ». Le succès de ses différentes franchises, Assassin’s Creed, Rayman, Far Cry ou encore les Lapins Crétins, l’a encouragé à se lancer dans un processus de diversification de ses activités. Comme le confiait le PDG, Yves Guillemot, Ubisoft amorce aujourd’hui une stratégie à 360°, à l’instar de celle mise en place par Disney. Films, parcs d’attraction, édition, séries télé: les marques développées par le groupe se déclinent sur tous les supports! Cette stratégie, qui est celle de toutes les grandes entreprises du divertissement aujourd’hui, rejoint parfaitement les préoccupations de notre master « Marketing Plurimédia et Consommation ». Grâce à notre double casquette gestion et sciences humaines, nous sommes en permanence informés des nouvelles tendances se développant sur le marché de la jeunesse, et c’est pour cela qu’Ubisoft nous a choisis!

Nous sommes très fiers de ce partenariat, et impatients de nous mettre au travail, car, comme nous le rappelait Antoine, chez Ubisoft, le jeu, c’est du sérieux!

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Article rédigé par Jeanne Balédent, étudiante en « Master 2 Marketing Plurimédia et Consommation – Parcours Management des Marques et Produits Jeunesse »