Doctoriales de civilisation au Congrès de la SAES à Limoges

 Les doctoriales de civilisation au congrès annuel de la SAES (Société d’anglicistes de l’enseignement supérieur) du 11 au 13 mai 2012 ont ouvert le bal à la Faculté de Lettres et de Sciences Humaines, Université de Limoges. Le vendredi 11 mai 2012, quatre doctorants ont présenté leurs travaux dans la séance qu’on m’avait demandé de présider :

10h00 Myriam Yakoubi (Paris VIII – Vincennes-Saint-Denis – Collège de France)
« La représentation de l’altérité chez Lawrence d’Arabie: Enjeux épistémologiques et politiques de la transparence »
10h30 Gwennaëlle Cariou (Paris VII – Diderot)
« La création des musées afro-américains aux États-Unis ou le passage de l’invisible vers le visible »
11h00 Delphine Schneider (Aix-Marseille)
« Rétablissement de la hiérarchie catholique en Angleterre en 1850: enjeux officiels et officieux »
11h30 Emilie Berthillot (Toulouse II – Le Mirail)
« Le château de Dublin de 1850 à 1922: traître ou agent double? »

Pour mémoire, Delphine Scheider est également intervenue  le samedi 12 mai (matin) dans l’Atelier 8 Ecosse et pays de Galles « Le rétablissement de la hiérarchie écossaise: enjeux officiels et officieux »,   le samedi 12 mai 2012 (matin) dans l’Atelier 18, Civilisation du Commonwealth “Double-Edged Transparency and Easiness: The Case of the Establishment of the Catholic Hierarchy in Australia (1842-1850)” et le dimanche 13 mai (matin) dans l’Atelier 4 : Etudes victoriennes et éduardiennes (SFEVE) « La reine Victoria et le pape Pie IX, une amitié improbable? ».

Emilie Berthillot est également intervenue le vendredi 11 mai (après-midi) dans l’Atelier 8 Ecosse et pays de Galles (SFEEc) « Espionnage et contre-espionnage dans les rébellions jacobites ».