Le grand n’importe quoi de l’obsolescence programmée

J’ai pu constater hier soir, lors d’une discussion passionnée et particulièrement arrosée entre amis, à quel point le mythe de l’obsolescence programmée imprégnait les esprits. Ce qui n’est pas très grave pour les personnes en question : elles ne votent pas les lois. C’est plus embêtant quand il s’agit de nos politiques, qui perdent leur temps à produire des textes inutiles.

Plutôt que d’écrire un long billet pour vous expliquer pourquoi, je vous renvoie plutôt vers ce billet d’Alexandre Delaigue, précisément intitulé “Le mythe de l’obsolescence programmée”. Il a plus de trois ans mais n’a pas pris une ride.

Un commentaire sur “Le grand n’importe quoi de l’obsolescence programmée

  1. La chose est plus complexe que simplement la question extrêmement réductrice du prix. On peut parler des déchets générés, de la consommation de matières première et d’énergie, de l’obligation de retourner acheter de nouveaux produits, de la question de l’inconfort d’avoir un produit à fiabilité réduite (c’est agréable pour les dames et nos yeux, une filante dans les bas en milieu de soirée…). L’obsolescence rapide (programmée ou pas) n’intéresse que les commerçants (ceux qui ne parlent qu’en terme de rendement financier au surplus rapide -l’obsession occidentale contemporaine-). C’est décidément le dogme (donc le contraire d’une pensée) occidental unique contemporain qu’est le libéralisme (nommé capitalisme quand on parle d’économie) qui est décidément le seul problème générateur de tous les désastres.

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