Prospective 2020 : la carte de France des Universités françaises

Disons que certains devront assumer des coûts un peu plus élevés que d’autres pour aller finir leurs études…

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Source : Gaïa Universitas

6 commentaires sur “Prospective 2020 : la carte de France des Universités françaises

  1. C’est curieux, on dirait la carte des populations françaises d’âge moyen pas trop élevé (à l’exception de Paris bien entendu et du Nord, pour lequel la Belgique offre de toute façon d’excellentes
    perspectives d’études supérieures).

  2. idiot et faux  l’argument de la jeunesse  il n’y a que l’ïle de France dans ce paquet-là à avoir plus de jeunes que la moyenne nationale. Et aucune des régions pleines de jeunesse n’est
    destinée à héberger des universités d’excellence (à part IDF)…

  3. Je ne suis pas sûr que ce commentaire soit utile ou intéressant, mais je suis retombé récemment sur le rapport d’Attali sur la libération de la croissance et une idée forte était justement de
    booster une dizaine d’universités pour en faire des grands poles d’enseignement et de recherche d’échelle internationale.
    Les grands esprits se sont donc bien rencontré.

  4. Je ne sais pas si c’est une interprétation possible, mais ça m’évoque un vieux souvenir de cours de géographie, où l’on montrait des villes de rôle et d’attractivité différents dont la répartition
    laissait une distance importante entre villes de taille comparable. Ici, j’ai l’impression que Paris a absorbé tout ce qui était à portée de train de l’IdF et qui n’avait pas suffisamment de
    répondant pour résister. A part Rhônes Alpes, qui est une grande région économique, les autres sont toutes les régions éloignées de Paris. Bref, quel influence aurait Paris et son éventuelle
    hypertrophie sur les universités de province?

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