La France toujours en grève…

Dans la lignée du précédent billet sur une France impossible à réformer, un petit message pour signaler l’étude de Ian Eschstruth "La France, pays des grèves?", qui recense les travaux sur la conflictualité dans différents pays développé, et ce sur longue période (merci à AJC de m’avoir signalé cette étude!).

Résultat : une nouvelle idée reçue qui tombe, la France ne se signale pas par une conflictualité démesurée…

Ci-dessous l’un des graphiques, sur la période la plus récente (classement de 25 pays par conflictualité décroissante sur la période 1998-2004) :



On notera la première place du Danemark, la Norvège au pied du podium et la Finlande devant la France… Le conflit peut aussi être vu comme un moment particulier dans un processus continuel de coordination entre acteurs, tout l’enjeu étant de savoir sur quoi il débouche.

26 commentaires sur “La France toujours en grève…

  1. @ econoclaste: sur ce dernier graphique, l’étude de base n’intégrait pas les grèves secteur public en France. L’auteur les a ajoutées. Sur que l’on pourrait approfondir l’analyse, mais on peut d’ores et déjà dire qu’il n’y a pas de problème global de conflictualité, peut-être (ca reste à démontrer) des problèmes locaux. Il a mis en lien un document plus complet, support d’un cours qu’il assure. Sans doute y-a-t-il des compléments/précisions, je n’ai pas encore regardé en détail.

  2. Ha il est beau le système de flex-sécurité Nordique ! :oDBon, j’en profite pour faire un peu la pub d’Acrimed, de Rezo et du Plan B aux lecteurs de ce blog :Acrimedhttp://www.acrimed.org/Rezo (Sur lequel vous êtes, selon une amie, de temps à autres cité.)http://rezo.net/Et le Plan B se trouve dans vos kiosques à journaux.Ces trois sources constituent des relais ou producteurs d’informations alternatives et surtout, permettant un recul vis-à-vis des idéologies dominantes généralement véhiculées par la télévision et les grandes maisons d’éditions.A noter que l’on y trouve aussi des enquêtes ou analyses sur des situations plutôt intéressantes, comme par exemple des comparaisons entre les durées des interventions des différents acteurs lors des crises sociales ou économiques, de la récole d’info "sur le terrain", etc.Par exemple, le premier Plan B consacra plusieurs pages aux réseaux tissés entre les média (Sans "s".) et son actionnariat…Qui possède quoi, à quel %, au nom de qui ou de quoi, etc.Tout cela est TRES utile, voire indispensable, lorsque l’on désire avoir un recul sur l’information, voire même comprendre son traitement, l’importance des "intellectuels médiatiques" et leurs différentes positions, etc.Attention : ces sources jumelées avec le Canard Enchaîné peuvent foutre le bourdon, parfois. Mais bon, hein…Enfin je préviens, hein. :oDAJC

  3. Pas de quoi Enzo.Si tu veux trouver plein de trucs assez sympas, va voir dans les liens que j’ai fourni plus haut, aussi. :o)Faudrait que je consulte l’étude plus détaillée, aussi… parce que je l’ai pas fait. Et ça, c’est mal.Ils sont forts, ces sociologues, quand même… :oDAJC

  4. Ce serait intéressant maintenant de connaître la répartition de ces conflits entre le public et le privé ; de connaître aussi la gène occasionnée à la population par ces conflits !
    Apparaîtrait peut-être une "spécificité" française ? ce n’est qu’une hypothèse !
     
    cordialement

  5. Il me paraîtrait intéressant, si l’on effectuait cette différenciation, de connaître ensuite l’implication de l’Etat au sein des différentes nations sur lesquels on aurait établit cette distinction…La différence public/privé seule me semblerait… comment dire… un bon moyen de taper sur la gueule du secteur publique, trop facilement ? (Si une "exception Française" était décelée, au niveau des grèves.)Bref, beaucoup de choses à ajouter à cela, je crois.Y compris le niveau de transformation de la société : est-elle camboulée par des réformes allant ou non dans un sens opposé aux désirs de la population ?Le pays est-il en proie à des changements profonds dans son système ? Tant au niveau de la juridiction, du rapport entre salariés et managers, du type de gérance d’entreprise "dominant" (Celui englobant le plus de grosses entreprises.), des attentes de l’Etat par rapport à ses propres entreprises ?Donc même si cela semble être une information pertinente, il faudrait la prendre avec des pincettes. Du genre fines, les pincettes, et pas y aller comme des bourrins. :o)Je dis cela, hein… je dis rien… mais c’est juste qu’il me semblait opportun de signaler tout ça. Juste "au cas où".Je suis un gros gauchiste enragé, qui fertilise son champ avec du sang de vierges fraîchement capturées par mes serfs, alors de manière étonnante, je tente de faire confiance aux méthodes et à la méthologie, ainsi qu’au recul par rapport à certaines informations. :oDAJC

  6. Si j’ai bien compris ce graph ne tient pas compte des grêves du secteur public ?Si c’est le cas quelle est la pertinence pour la France ?

  7. Erwan :Tu devrais te pencher sur l’article en lui-même, qui est court et peu "scientifique", car destiné au plus grand nombre.Le secteur public est compris dans ces journées de grèves comptabilisées.Donc ici il s’agit du secteur privé et public "mélangés".La seule chose que veulent savoir certains, c’est justement ce que cela donnerait en différenciant les deux.Enzo :T’as vraiment fait, ce que l’on appelle en langage d’expert, un quote-to-quote dégueulasse ! :oDOn peut aller plus loin dans l’analyse en affirmant que t’as un peu niqué la mise en page des commentaires. :o)))C’est très technique : si tu vois pas de quoi j’ai parlé, contacte moi en privé.Je taquine… :oPAJC

  8. Hum.Bon, là je suis en train de lire le cours complet de Heschstruth Ian…Concernant la "spécificité française", elle serait plus ou moins attestée… mais pas concernant les grèves en elles-mêmes, mais le secteur en lui-même.En effet, les statistiques concernant tout cela sont très floues (Explication en début du cours.), donc on ne peut pas vraiment conclure totalement sur certains détails.Néanmoins, ouais, y’aurait effectivement une sorte de "spécificité Française" au sujet des grèves dans le secteur public.Perso, je conseille à ceux s’intéressant à la question de télécharger le cours et de commencer page 19 (Fin 18…), après avoir lu les quelques premières pages présentant la méthode employée et précautions à prendre avec les statistiques.A noter que cette "spécificité" n’est pas valable DU TOUT lorsqu’on se penche un peu sur les graphiques : par exemple, le 10 présente assez bien le rapport des grèves dans la fonction publique sur celle du secteur privé… et nous permet de constater que cette "spécificité" ne s’exprime que lors de certaines périodes bien définies.Je crois que pour beaucoup de lecteurs, vous pourrez vous arrêter à la page 22 environ. :o)En plus, c’est écrit gros, et y’a des images. (Perso j’aurai pas pu, sans.)Je continu de lire et relire certains passages et le cours complet et tenterai de poster quelque chose à ce sujet dans mon blog, si nécessaire, afin de nuancer un peu le doublon Enzo-Fillol/Bouba-Olga.Enfin ce commentaire est à nuancer : là j’ai pas encore terminé complètement le cours, et il faudrait que je le relise une dernière fois. Mais c’est pour cela que j’ai indiqué ce qu’il me paraissait intéressant afin que chacun puisse se faire une idée de la chose.AJC

  9. Pour Enzo,Non je ne crois pas que le service public est une spécialité française, mais la proportion service public/privé est peut-être plus importante en France !"sur ce dernier graphique, l\\\’étude de base n\\\’intégrait pas les grèves secteur public en France."dixit Olivier Bouba OlgaJ\\\’avais peut-être mal compris donc je posais des questions, d\\\’où les points d\\\’intérrogations. C\\\’est un peu leur fonction, donc merci d\\\’éviter d\\\’être méprisant. Et ne me faites pas un laius sur la relativité du mépris, on ne se connaît pas, vous pourriez donc avoir un minimum de respect.Je n\\\’avais pas encore lu l\\\’étude.A tous,Maintenant peut on conclure en lisant cette étude que la France n\\\’est pas un pays de grêve ? Ou plutôt un pays où la grêve est moins utilisée comme outil de contestation ?L\\\’indicateur utilisé est il pertinent ?La France est (je crois ?) un pays peu syndiqué, un faible nombre de gréviste ne pourraît il pas avoir autant d\\\’influence qu\\\’un nombre plus important dans un autre pays?En gros la pratique de la grêve en France n\\\’aurait elle pas tendance à paralyser plus facilement l\\\’activité que de un autre pays ?Cette paralysie expliquerait ainsi la médiatisation et les préjugés sur la spécificité française de la grêve.Ou encore fait on la grêve de la même manière suivant les pays ?L\\\’inconvénient d\\\’une grêve, c\\\’est le blocage d\\\’une situation pour les acteurs mais aussi pour les tiers.C\\\’est ça que l\\\’on retient le plus, les contestations sociales passent.Par exemple quand on parle des grêves de 95 ou de 68, on parle d\\\’abord des évênements et ensuite du fond.Ce qui marque avec les grêves françaises, c\\\’est les paralysies générales et médiatisés.Existaient elles vraiment dans les autres pays ?Si non, on peut peut-être relativiser l\\\’importance de cette étude puisque leurs grêves sont moins "agressives".Je n\\\’affirme rien, j\\\’émets juste des idées, alors éviter de supputer gratuitement (si, je puis dire).Erwan

  10. Tout d’abord, laissez-moi juste vous signaler que ma réponse n’avait rien, il me semble, de méprisant. Après, bien entendu, tout cela est relatif. Le tutoiement était ici amical, simple. Je ne voulais en rien me montrer comme malpoli, méprisant, condescendant ou vulgaire. Je vous vouvoie donc, puisque je ne vois rien d’autre de choquant dans mon commentaire… et vous fait toutes mes excuses si vous avez conclut que je prenais un ton offensant avec vous en employant la seconde personne du singulier. "sur ce dernier graphique, l’étude de base n’intégrait pas les grèves secteur public en France."dixit Olivier Bouba Olga" Il me semble qu’il a également ajouté le fait que l’auteur a complété ces données par la suite. Concernant la conclusion… Il me semble que le but ici était surtout, pour le rédacteur de l’article, de "casser" des préjugés lancés par les médias. Il est annoncé, au début de l’étude, que même si les réponses des "spécialistes" étaient nuancées, elles différaient néanmoins énormément de ce que pouvaient tenter de nous faire croire les médias. (Comprendre par là : y compris les "intellectuels médiatiques", "experts de plateaux", etc.) Je n’arrive pas à comprendre le lien possible entre le nombre de syndiqués et la paralysie entraînée par des grèves…? Pourriez-vous nous exposer ou développer l’extrait copié ci-dessous, s’il-vous-plaît ? "La France est (je crois ?) un pays peu syndiqué, un faible nombre de gréviste ne pourraît il pas avoir autant d’influence qu’un nombre plus important dans un autre pays? En gros la pratique de la grêve en France n’aurait elle pas tendance à paralyser plus facilement l’activité que de un autre pays ? Cette paralysie expliquerait ainsi la médiatisation et les préjugés sur la spécificité française de la grêve." Pour la grève de 68, on en parle généralement peu, mais ce fut par exemple vraiment "léger" par rapport à ce qu’il se passa dans d’autres pays, par exemple. Néanmoins, on en fait tout un fromage, alors que -si je me souviens bien- les années 60 virent de nombreuses grèves et mini-révolutions éclater. Je crois d’ailleurs que ce fut d’ailleurs au Japon que la violence fut la plus importante. Néanmoins, si on pense "années 60" et "grève", en France, on pense "mai 68" directement. Quant aux grèves en elles-mêmes, il me semble que vous mettez le doigt sur un détail assez important : elles sont TRES médiatiques… C’est peut-être ce qui donne cette impression de paralysie générale, de grève constante, du Français contre les évolutions sociales et économiques, etc. Et c’est ce que justement l’auteur de ce cours et de cet article tente de démonter. AJC PS : si vous désirez que les "///" disparaissent, le mieux est de copier le texte de votre commentaire avant de le poster, par l’intermédiaire de la fonction "Ctrl+C" ou "copier", si vous faites un clik-droit sur le texte surligné. Une fois que la fenêtre ré-apparaît, mais avec votre message comprenant des "///", vous pouvez "coller" votre message à la place de celui qu’Over-Blog a placé par la suite. Cela arrive lorsque les messages mettent du temps à écrire. Cette technique du "copier" préventif est ainsi utilisé pour sauvegarder temporairement son message "propre", en vue d’une ré-utilisation possible, si le texte n’a pas été accepté par Over-Blog.

  11. @ erwan : précision : pour le dernier graphique (celui que je reprends), l’auteur s’appuie sur les données d’une enquête d’un autre chercheur. Cet autre chercheur n’avait pas intégré les grèves secteur public en France. Il a donc ajouté les données secteur public et refait le graphique. Sur les questions que vous posez ensuite : comme toute étude, il convient en effet d’envisager les limites de l’indicateur retenu et de bien réfléchir à l’interprétation. La dernière phrase de mon billet allait en ce sens : au-delà de la conflictualité, il convient de s’interroger sur ce que les conflits produisent en termes de réforme, de coordination entre acteurs, etc. On peut imaginer deux cas de figure : des conflits dans certains pays sont producteurs de réformes partagés par les acteurs, on aboutit à des "compromis institutionnalisés" qui font avancer les choses ; dans d’autres pays, ils ne produisent rien… Je travaille notamment sur la thématique des conflits d’usage autour de la ressource en eau, et nous essayons de montrer que les conflits peuvent être vus précisément comme des moments particuliers dans des processus continuels de coordination entre acteurs. Selon les cas, ils débouchent sur des solutions intéressantes, où sur rien du tout!Toujours est-il que le discours ambiant selon lequel la France n’est pas réformable en raison d’une culture du conflit plus marquée qu’ailleurs ne tient pas trop la route : la France se réforme, la culture du conflit ne semble pas plus marquée qu’ailleurs. Si on a ca en tête, ca ne veut pas dire pour autant que tout va bien, mais que là n’est pas le problème essentiel. A charge d’identifier les bons problèmes pour mieux les résoudre. On en revient toujours à une thématique auquel je tiens particulièrement : l’importance de poser les bons diagnostics avant de faire des préconisations en termes de politique économique.

  12. Erwan, pas de fâcherie, c’était un peu d’humour provoquant je l’admets, pour une question dont le sentiment de réponse se trouvait dans la question.  d’ailleurs tes autres questions "prudentes" montrent la réponse que tu aimerais que l’on t’apporte….
    Rien de méprisant là dedans donc.
    @AJC
    Doublon avec OBO, non vraiment pas de comparaison car on ne se place pas sur le même niveau d’analyse. Le seul lien est que je lui ai piqué son information…..o;)))

  13. Enzo : enfin, je parlais pas de copier+coller sur le thème, hein…Mais par "doublon" je voulais dire par là que c’était une double-source, ainsi. :o)C’est pour ça que j’hésite à sortir un article là-dessus. (Voire plusieurs : le cours du mec est très très intéressant. De quoi en faire deux, au moins.)Enfin je vais voir. Je devais écrire hier mais je me suis endormi comme un sac à la place.Brigetoun : j’ai encore rien écrit. Y’a rien d’intéressant de posté depuis… heu… un bail ?Non non moi j’ai fait que dénicher l’article et le placer dans les commentaires sur ce blog.Par contre je risque un peu d’écrire sur la "spécificité Française", prochainement. Peut-être ce soir.Mais c’est dur : y’a un dvd de manga qui me zieute étrangement, et je suis hyper tenté de ne pas faire mon devoir d’économiste bas-de-gamme, là…Les marques du plaisir : le cercle des économistes ?Sur les blogs ?…AJC

  14. AJC : c’était encore un petit coup de mon légendaire mauvais esprit …j’ai pas trouvé notre hôte dans la liste : " Michel Aglietta, Patrick Artus, Agnès Bénassy-Quéré, Jean-Paul Betbéze, Jean-Pierre Boisivon, Christian de Boissieu, Anton Brender, Pierre Cahuc, Jean-Michel Charpin, Jean-Marie Chevalier, Elie Cohen, Michel Didier, Pierre Dockès, Lionel Fontagné, Marc Guillaume, Pierre Jacquet, Bertrand Jacquillat, Jean-Dominique Lafay, Jean-Hervé Lorenzi, Catherine Lubochinsky, Charles-Albert Michalet, Jacques Mistral, Olivier Pastré, Anne Perrot, Jean Pisani-Ferry, Jean-Paul Pollin, Dominique Roux, Christian Saint-Etienne, Christian Stoffaës et Daniel Vitry." …. ni aucune ressemblance entre les écrits d’OBO et la prose inénéarable des flagellants de la modernité économique ….L’économie de comptoir, voilà une discipline qui nous est chêre, … faut que je fasse un tour ….

  15. ps … pitan, qui écrira un jour sur l’économie de l’esprit de l’escalier ???quelqu’un aurait il quelques infos basiques sur le marché du café ?Style quand les "cours" haussent de X $, la rémunération du producteur baisse de X cents …. vous voyez le genre ?j’ai un truc sur le feu et je sêche faute de trouver en français …

  16. Faudrait peut-être que tu cherches au niveau des marchés des matières premières agricoles…Regarde du côté du Brésil, voire de l’Amérique du Sud en général. J’ai vu un truc très rapide dans un bouquin sur la narcoéconomie qui comparait des variations du prix du café (Et d’autres produits.) avec ceux des drogues.Mais rien de plus.Heuuu… balance ce genre de question sur les fora où des geeks de l’économie traînent. Ça doit exister.J’ai déjà vu ça pour des maths… donc pour l’économie, ça doit bien se trouver.A ce sujet, lorsque le cours augmente il me semble que les producteurs s’en mettent plein les fouilles, hein… pas qu’ils perdent du fric….T’as un mauvais esprit légendaire ?Hum…T’as pensé à appeler les ghostbusters ?(Et voilà, c’était un coup de mon légendaire sens de l’humour ultrafoireux. :oD )Pour l’économie de comptoir, hein, te gène pas pour passer. :o)Faut fouiller pour trouver des trucs intéressants, en général, et là je viens de re-découvrir qu’il fallait peut-être que j’écrive dans ce blog, mais bon…Amicalement,AJC

  17. AJC j’avais bien compris – téléchargé le texte d’Ian Eschstruth et callé. Je ne peux pas mettre un commentaire chez toi (envoyer n’apparaît pas) donc merci d’avoir résisté au DVD – je reviendrai à tes articles après les tâches ménagères – en n’oubliant pas d’essayer de garder vigilent mon crâne de piaf

  18. Brigetoun :Ce problème est propre à Over-Blog, tout comme l’histoire des "antislashs" qui apparaissent si le commentaire est trop long…Il faut, pour faire apparaître le petit bouton "envoyer", aggrandir la fenêtre permettant de poster un commentaire. :o)(Cela peut arriver sur ce blog également, donc je le signale éventuellement aux visiteurs qui pourraient lire ces commentaires.)

  19. Je travaille notamment sur la thématique des conflits d’usage autour de la ressource en eau, et nous essayons de montrer que les conflits peuvent être vus précisément comme des moments particuliers dans des processus continuels de coordination entre acteurs. Selon les cas, ils débouchent sur des solutions intéressantes, où sur rien du tout!

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