Labex, masse critique et autres futilités

Dans la continuité de la publication de la liste des Labex et plus généralement de la politique de la recherche et de l’enseignement
supérieur menée en France, voici une tribune co-écrite avec des collègues toulousains spécialistes de sociologie et de géographie des sciences.

Nous avions rédigé cette tribune en réaction aux propos de Jean-François Dhainaut, directeur de l’AERES, dans les Echos. Nous l’avions logiquement proposée aux Echos, qui avaient accepté de la publier sans pouvoir nous dire
quand. Comme elle n’a toujours pas été mise en ligne, (no comment) je la publie ici.

Déconcentration de la recherche

3 commentaires sur “Labex, masse critique et autres futilités

  1. Je me suis toujours demandé ce qu’était un “chercheur A+”…. c’est un chercheur qui est dans un labo A+ ? dans une équipe A+ ? 

  2. Bonjour Olivier

    Je te rejoins assez largement sur ton analyse (à l’AERES on n’était pas tous favorables à cette compilation de données disparates et à sa publication et pas plus sur son exploitation médiatique)
    et je ne suis pas sûr non plus que “big is beautiful”. Je te signale néanmoins une erreur, JF Dhainaut n’était pas directeur de l’AERES (il n’y en a pas ou plutôt il y a en trois) mais président
    ce qui au delà de la subtilité juridique n’est pas une mince différence.

    Amicalement

  3. Ping : L’excellence des Universités : oui, mais quelle excellence ?! | Olivier Bouba-Olga

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