TICE Déj n°8 Podcasting, vidéocasting à l’Université de Poitiers, quelle stratégie ?

Le podcasting se définit de façon courante comme un moyen de diffusion, par Internet, de fichiers audio ou vidéo (les podcasts), associé à la notion d’abonnement à un canal de diffusion (flux RSS par exemple). Le vidéocasting concernerait plus particulièrement la production et la diffusion des podcasts vidéo. Cependant, ces mots recouvrent des réalités variées, en fonction notamment des technologies utilisées et des contextes. Nous reviendrons sur cette terminologie au cours du TICE Déj.

Dans la ligne du Livre blanc sur le podcast à l’université, publié par la SDTICE (Sous-direction des technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement) en 2008, les possibilités suivantes sont offertes à l’Université de Poitiers pour produire et diffuser des podcasts :

  • par le biais d’UPtv , la Web tv de l’Université de Poitiers ;
  • par enregistrement automatisé dans les amphis équipés ;
  • avec Adobe Connect, outil de webconférence.

Ce TICE Déj sera l’occasion de :

  • présenter les caractéristiques et les spécificités de chaque solution, en détaillant plus particulièrement les deux dernières;
  • illustrer le potentiel de ces deux solutions pour la création de ressources pour l’enseignement et la recherche (enregistrement de cours, interventions d’experts, réunions, débats…) permettant une exploitation à la demande,  en différé, répétée…

La réalité augmentée – Compte-rendu de Conférence

« A la découverte de la réalité augmentée », conférence animée par Armelle Prigent le 21 mars dans le cadre du Festival « Voix Publiques » placé sous le thème  « Virtuel, réel, jusqu’où ? » à Poitiers.


La Réalité Augmentée, superposition de deux mondes

La Réalité Augmentée, quand le réel et le virtuel se superposent

La réalité augmentée est une nouvelle technologie qui suscite de plus en plus d’intérêt auprès des scientifiques comme du grand public.  Sa capacité d’enrichir le monde réel par l’ajout d’entités virtuelles lui offre un grand potentiel et ouvre ainsi les portes à de nouvelles applications. Depuis quelques années, de nombreux systèmes de réalité augmentée ont vu le jour  et placent le spectateur au centre d’une réalité mixte.
L’apparition des smartphones et de la haute technologie embarquée a ouvert de nouveaux usages pour la réalité augmentée pour s’ouvrir au grand public. Lire la suite

TICE Déj n°7 : les cartes conceptuelles ou heuristiques – 24 mars 2011

Les cartes conceptuelles, ou heuristiques, ont de multiples usages, de la prise de notes à l’organisation structurée de données. Elles seront aussi avantageusement utilisées pour assurer des présentations.

Venez découvrir les outils, les fonctions et quelques champs d’application.

Jeudi 24 mars, de 9h à 10h, salle de conférences, à i-médias

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TICE Déj n°6 : l’offre de documentation électronique à l’Université de Poitiers – 17 février 2011

Pour exploiter au mieux les ressources électroniques proposées par le service commun de documentation !

Louise Béraud, responsable des ressources électroniques au SCD, présentera :

–       une typologie des ressources disponibles ;

–       les conditions d’accès (par le réseau de l’université ou de l’extérieur de l’université).

Venez en apprendre plus sur l’offre de documentation électronique de l’Université de Poitiers lors de ce TICE Déj’ convivial (thé, café, et gâteau à volonté !)  le 17 février 2011 de 9h à 10h à i-médias.

Inscrivez-vous !

TICE Déj n°5 : “Savoir gérer ses données personnelles et professionnelles, une nécessité” le 27 janvier 2011

A la veille de la journée européenne sur la protection des données personnelles, nous vous proposons de débattre sur la gestion de nos données personnelles et professionnelles.

Emmanuel Laizé, responsable de la sécurité des systèmes d’information (RSSI) et Isabelle Guérineau, correspondante informatique et libertés (CIL) de l’université nous expliqueront les enjeux de la protection des données personnelles et professionnelles, en particulier dans un établissement comme le nôtre.

– Comment gérer nos données personnelles ? Quels risques encoure-t-on ?

– Comment gérer nos données professionnelles et protéger des travaux de recherche ?

– Peut-on être anonyme sur internet ? Comment protéger sa vie privée sur internet ?

– Que faire contre l’exploitation de nos données (SPAM par mail/sms, etc.) par des sociétés commerciales ?

– Comment gérer les données de nos utilisateurs et de nos étudiants, etc. ? que peut-on faire et ne pas faire ?

Autant de questions qui pourront être abordées lors de ce TICE Déj le 27 janvier 2010 de 9h à 10h à i-médias.

Venez nombreux !

TICE Déj’ n°4 : Les logiciels d’e-portfolio de compétences le 6 janvier 2011

Vous êtes Intéressé par les logiciels d’e-portfolio ?

Venez participer au Tice Déj du jeudi 6 janvier 2011 de 9h à 10h  à i-médias.

Les e-portfolio de compétences et d’expérience (ou de présentation) permettent aux étudiants, aux enseignants, ou à toute autre personne impliquée dans une démarche de formation, de communiquer et de mettre en valeur son profil, ses compétences, et ses travaux. Accessible via une URL web, il s’agit d’une page internet qui présente un CV amélioré, plus complet et pouvant exploiter le multimédia par la mise en ligne d’images, de vidéos, de sons, etc.

Nous réfléchirons sur la façon de valoriser à la fois sa formation universitaire et ses expériences et sur la manière de mettre en avant ses compétences dans un portfolio numérique.

Pour cela, nous aborderons tout d’abord le PEC (le Portefeuille d’Expériences et de Compétences) qui est un outil pour l’étudiant tout au long de sa formation et pour le salarié tout au long de sa vie. C’est un outil d’aide à l’orientation, d’aide au retour en formation, d’aide à l’insertion. Le PEC est un outil de valorisation du parcours de formation et du parcours professionnel. (source : http://www.pec-univ.fr/). Le PEC permet d’entrer dans une démarche réflexive, de faire son bilan et  ainsi de cerner les compétences et les expériences à valoriser.

Puis nous présenterons le logiciel Mahara, actuellement en test à l’Université de Poitiers qui permet de créer son portfolio d’expérience et de compétences simplement et rapidement. Les utilisateurs l’ayant expérimenté avec leurs étudiants depuis le mois de septembre 2010 nous ferons un retour d’expérience sur cet outil.

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Date : le jeudi 6 janvier 2010 de 9h à 10h

Lieu : i-médias

Inscriptions : Cliquez ici pour vous inscrire

Tablet PC VS TBI : Compte-rendu n°1 TICE 2010

Présents au colloque TICE 2010 à Nancy, du 6 au 8 décembre 2010, nous avons notamment assisté à plusieurs conférences intéressantes autour de l’usage du tablet PC dans l’enseignement supérieur.

Qu’est ce qu’un tablet PC ?

Pour résumer, un tablet PC c’est tout simplement un ordinateur portable équipé d’un écran tactile et d’un stylet. Dernièrement on a beaucoup parlé de l’IPAD d’Apple mais il existe depuis des années de nombreux modèles de tablet PC et les plus intéressants ne sont peut-être pas les modèles entièrement tactiles mais ceux qui offrent également un clavier et peuvent être utilisés comme des ordinateurs portables classiques.

Pourquoi c’est intéressant ?

Certains enseignants utilisent déjà un tableau blanc interactif (TBI) qui combine les avantages de la vidéoprojection et de l’écran tactile. Relié à un ordinateur, le TBI affiche des contenus sur lequel enseignant et étudiants peuvent interagir. Ainsi, on peut commenter, annoter, dessiner, écrire des formules mathématique sur un support de cours directement sur le tableau blanc interactif. Lire la suite

Colloque TICE 2010 à Nancy du 6 au 8 décembre

Nous étions à la 7ème édition du colloque TICE organisé par les universités de Lorraine.

Au programme plus de 200 conférences sur de nombreux sujets. Les communications étaient d’ordre scientifique avec la présentation de résultats de recherche sur les TICE, leurs usages et leurs développements, ou de l’ordre du retour d’expérience sur les usages des TICE dans l’enseignement supérieur.

Nous essayerons de vous faire un retour des conférences les plus intéressantes dans ce blog.

TICE Déj du 16 décembre : l’exception pédagogique au droit d’auteur

La diffusion de contenus par le biais des services numériques soulève inévitablement des questions de droit d’auteur.
L’exception pédagogique au droit d’auteur est définie par la loi relative au droit d’auteur et aux droits voisins dans la société de l’information, dite loi DADVSI, du 1er août 2006.
Des accords sectoriels précisent les conditions d’application de cette exception pour l’utilisation d’oeuvres des arts visuels, audiovisuelles, cinématographiques, imprimées et musicales.
Nous présenterons une synthèse de ces accords, qui nous amènera à discuter les questions suivantes :
– conditions générales d’utilisation des oeuvres
– durée / taille limite d’un extrait en fonction du type d’oeuvre
– utilisation en présentiel / utilisation en ligne

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Compte rendu du TICE Déj n°2 : connaître et utiliser les réseaux sociaux

On entend par réseau social, une communauté d’individus partageant des centres d’intérêts, des points de vue, ainsi que les interactions mises en place à l’intérieur de cette communauté, et le site web qui fédère ces individus et facilite leurs échanges d’informations.

Il en existe différents types.

Le plus important à ce jour est évidemment Facebook qui compte 500 millions de membres (environ le nombre d’habitants en Amérique du Nord). Il s’agit du 2e site le plus visité après Google. A la base destiné aux étudiants, il s’est étendu au monde entier, toutes catégories confondues et rassemble des personnes proches et inconnues.

En France, nous connaissons aussi Copains d’avant, le réseau social qui permet de retrouver d’anciens camarades ayant partagé notre scolarité (école primaire, collège, lycée, cursus universitaires), ainsi que nos activités associatives et professionnelles (entreprises, administrations).

Linkedin et Viadéo sont ce que l’on appelle des “réseaux sociaux professionnels”. Linkedin compte 65 millions de membres, tandis que Viadéo, le concurrent français en dénombre 25 millions.

Twitter est un réseau social de “microblogging”. Il permet d’envoyer des messages brefs (140 caractères maximum) par internet. C’est en quelque sorte le SMS du web. Il est très utilisé dans des communautés spécifiques : journalistes, professionnels du web, etc.

Les réseaux sociaux du type “communauté d’échanges” sont aussi très utilisés dans certains milieux et dans certaines professions. C’est le cas des sites d’autopublication tels que Myspace qui permet aux groupes d’héberger et de faire partager leurs compositions et leurs actualités (concerts, date de sortie d’album, etc.) et de Flickr, le site de partage d’images, très utilisé par les photographes professionnels ou amateurs, les publicitaires, etc. Dans le domaine de la vidéo, il faut citer évidemment Youtube et son concurrent français Dailymotion.

Lors de ce TICE Déj’, pour aborder ce thème, nous avions choisi de vous faire part de 10 idées reçues sur les réseaux sociaux et de les soumettre au débat.

Idée reçue n°1 : “Les réseaux sociaux ça sert juste à raconter sa vie, ce sont des outils personnels et non des outils professionnels”.

Il est possible d’utiliser ces outils pour les deux usages, le tout étant de ne pas mélanger l’un avec l’autre et de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. D’un côté, vous pouvez vous servir d’un réseau social pour entretenir des relations avec vos proches (Facebook est sans doute le plus adapté dans ce cas). De l’autre, réservez l’ajout de vos contacts professionnels à un réseau social dédié à cela tel que Copains d’avant, Viadéo ou Linkedin.

Idée reçue n°2 : “Les réseaux sociaux ne servent à rien”.

Aujourd’hui, les réseaux sociaux sont presque devenus incontournables. On peut évidemment choisir de ne pas y être, mais c’est prendre le risque de laisser le champ libre aux homonymes et autres et ainsi de ne pouvoir contrôler l’image que l’on donne de soi. En effet, nombreux sont ceux qui vont sur internet chercher des renseignements en rentrant dans un moteur de recherche un prénom et un nom. Plusieurs options se présentent alors :

1/ vous n’êtes pas du tout visible sur internet et on ne trouve rien sur vous. On peut en déduire que vous ne vous exposez pas outre mesure, ce qui peut être tout à votre honneur… Le problème, c’est de savoir combien de temps vous resterez dans le cas n°1 et si vous n’allez pas tomber dans quelques jours, semaines, mois ou années dans le cas n°2…

2/ on trouve des informations à partir de votre prénom et de votre nom. Ces informations peuvent être de plusieurs ordres : soit elles vous concernent mais vous ne les avez pas publiées, vous ne pouvez donc pas les maîtriser ; soit elles concernent un homonyme et peuvent donner une image erronée de votre personne à celui qui vous cherche sur internet.

3/ on trouve sur vous des informations maîtrisées, que vous avez vous-même publiées.

Etre sur les réseaux sociaux, même de façon minimaliste, c’est une façon de maîtriser son image et les informations publiées sur nous sur internet.

Un autre argument pour être sur les réseaux sociaux, c’est que cela permet d’être informé de ce que l’on y dit et d’avoir souvent des informations de façon quasi instantanée. Le conseil général de la Vienne a, par exemple, utilisé sa page Facebook pour communiquer sur l’état des routes et des transports scolaires lors des journées de neige.

Etre sur les réseaux sociaux peut donc permettre de s’informer et de gérer son identité numérique.

Idée reçue n°3 : “Les réseaux sociaux c’est chronophage”

Oui, la pratique des réseaux sociaux est chronophage. L’utilisateur moyen d’un réseau social y consacre 55 minutes par jour (5h30 par semaine contre 3h en 2009).

Idée reçue n°4 : “Les réseaux sociaux c’est un truc de jeunes”

Non, ce n’est pas qu’un truc de jeunes. On peut plutôt dire que tout le monde s’y met. L’âge moyen de l’utilisateur est d’environ 35 ans. Aujourd’hui, plus de 60% des internautes sont membres d’un réseau social.

Idée reçue n°5 : “Sur les réseaux sociaux, les données sont revendues et la vie privée est bafouée”

Oui et non. En effet, Facebook a le droit d’accès aux données, mais charge à l’utilisateur de prendre le temps de paramétrer correctement son compte pour contrôler qui voit quoi. En moyenne, un utilisateur de Facebook compte 195 amis : la sphère privée est donc là “toute relative”. D’autant qu’il est possible de paramétrer son compte pour permettre aux amis de vos amis d’avoir accès à votre profil… dans un tel cas, votre profil ne peut absolument pas être considéré comme privé : si chacun de vos 195 amis compte à son tour 195 amis… le nombre de personnes pouvant accéder à vos informations devient gigantesque. Tout est donc une question de paramétrage de son compte et de contrôle de l’information publiée. Ne publiez jamais votre adresse ou vos données de localisation… Ce sont des informations bien trop précieuses pour des personnes mal intentionnées. Pour illustrer ce propos, le site “please rob me” (“s’il vous plait, cambriolez-moi”) recense automatiquement les personnes publiant des informations de géolocalisation dans leurs statuts sur les différents réseaux sociaux. Attention donc à ne pas tout raconter et gardez en tête que des sites tels que Facebook affichent clairement dans leurs conditions d’utilisation qu’ils sont propriétaires de toutes les données que vous publierez.

Idée reçue n°6 : “Sur les réseaux sociaux, on est obligé de participer”

Une stratégie consiste souvent à ne pas se montrer. Si cela permet de gérer son identité numérique au minimum, la base d’un réseau social c’est tout de même de partager et d’échanger. Vous pouvez observer ce qui s’y fait et s’y raconte mais en restant en retrait, vous resterez finalement assez isolé et vous ne pourrez tirer le maximum des bénéfices et des apprentissages que peuvent offrir les outils de réseaux sociaux.

Idée reçue n°7 : “Sur les réseaux sociaux, on peut contrôler exactement ce que l’on dit et publie”

Oui et non. Tout d’abord il faut faire attention à ses propres publications. Notamment dans un premier temps où l’on découvre le merveilleux monde du réseau social et où l’on tombe facilement dans la communication boulimique. On peut facilement se laisser entraîner et déborder par l’aspect ludique de la publication et des commentaires à outrance. Si l’on peut assez simplement contrôler ses propres publications, on peut difficilement contrôler ce que publient les autres. En effet, vous pouvez apparaître sur les photos de la dernière soirée avec vos amis et avec le système de “marquage” (tag), en consultant le profil d’une autre personne sur Facebook, un lien vers votre propre profil peut apparaître sur une photographie vous représentant. Si vous avez choisi de ne jamais mettre de photos de vous sur Facebook, faites attention à ce que d’autres ne le fassent pas pour vous. Surveillez donc ce que vos contacts peuvent publier sur vous et activez le système d’alerte vous permettant d’être prévenu par mail chaque fois que quelqu’un vous “marque” sur une photo.

Enfin, le chiffre qui fait froid dans le dos : au Royaume-Uni, 20% des demandes de divorce impliquerait Facebook.

Idée reçue n°8 : “Les réseaux sociaux sont une mode”

Rien n’est moins sûr. La communication sur les réseaux sociaux est devenue incontournable. Aujourd’hui, on voit de nombreux panneaux publicitaires qui ne proposent pas un lien vers un site internet mais directement vers une page Facebook. Les réseaux sociaux c’est peut-être le web de demain.

Idée reçue n°9 : “Les réseaux sociaux représentent un danger”

Oui. Il y a des risques d’usurpation d’identité, de détection d’absences, et le risque d’alimenter le « social engineering », c’est-à-dire les méthodes consistant à recueillir des informations sur votre environnement,  susceptibles d’être utilisées pour la construction de mots de passe et en réponse aux questions secrètes posées en cas de perte de mots de passe… N’oubliez pas que les questions secrètes exigent une réponse que seul(e) vous connaissez. Aujourd’hui, tout le monde connaît votre ville, votre date de mariage, votre date de naissance, etc. grâce aux informations que l’on trouve sur les réseaux sociaux. Paris Hilton s’est fait pirater son compte sur un réseau social car elle avait choisi comme réponse à la question secrète pour le rappel de mot de passe, le nom de son chien…

Une autre technique classique consiste à usurper l’identité d’une personne que vous connaissez pour devenir ami sur un réseau social.

Démonstration en vidéo :
<a href=”http://cdn.streamlike.com/hosting/orange-business/embedPlayer.php?med_id=f9d9c60993cf7eef&width=480&height=427″ mce_href=”http://cdn.streamlike.com/hosting/orange-business/embedPlayer.php?med_id=f9d9c60993cf7eef&amp;width=480&amp;height=427″><br /> <h1>le social Engineering et les réseaux sociaux dans la vie privée</h1> <p></a>

Idée reçue n°10 : “Les réseaux sociaux sont compliqués à utiliser”

Créer un compte sur un réseau social n’est pas compliqué, c’est le paramétrage qui est difficile. Cependant, il est indispensable d’y consacrer du temps et de vérifier ce paramétrage régulièrement.

Conclusion

Les réseaux sociaux ne servent pas qu’à raconter sa vie. Ils permettent de faire de la veille, de se constituer un réseau professionnel, d’échanger des informations avec ses pairs. Le tout est de choisir ses réseaux et de séparer informations privées et informations professionnelles. Aujourd’hui, les réseaux sociaux semblent incontournables. D’une part, il est nécessaire de les consulter pour gérer son identité numérique. D’autre part, ils deviennent un vecteur de communication institutionnelle. Malgré les risques d’exposition de la vie privée et les dangers liés à la surexposition d’information, les réseaux sociaux restent de formidables outils. Il faut simplement veiller, contrôler et rester extrêmement prudents et vigilants 🙂

N’hésitez pas à consulter le site Internet sans crainte : http://www.internetsanscrainte.fr/ vous trouverez des réponses à vos questions concernant le bon usage d’internet.