Se poser au calme un après-midi, prendre un week-end ou même partir en vacances…, c’est souvent en « changeant d’air » et en créant de l’espace que l’on y voit plus clair.
Si l’adage nous dit que « c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures confitures », c’est pourtant lorsqu’on utilise un matériel nouveau, ou du moins qui ne nous est pas familier (en vacances, ailleurs que « chez nous »…), que l’on se découvre souvent sous un jour plus créatif, avec la plus grande envie de tester de nouvelles recettes !
D’abord parce qu’être dans un environnement différent et nouveau est stimulant, et souvent porteur de découvertes qui ouvrent de nouvelles possibilités. Et aussi parce que c’est un excellent moyen de s’autoriser à « faire différemment », en l’absence de référence ou d’élément de comparaison. S’autoriser à voir autrement, à raisonner différemment, à reconsidérer notre situation en étant extérieur au problème, en quelque sorte…
Du reste, et comme le dit fort justement la chanson, « sortir du problème » contribue grandement à le minimiser, ou du moins à lui redonner des proportions raisonnables…
« Que c’est beau, les voyages…
Et lorsque l’on retourne chez soi
Rien n’est comme autrefois
Car nos yeux ont changé
Et nous sommes étonnés
De voir comme nos soucis
Etaient simples et petits
Car les voyages
Tournent une page.
Ah… les voyages… »,
Barbara