Une expérience intéressante faite par un professeur de lettre en Lycée vient récemment de montrer à quel point internet devenait un piège pour de nombreux étudiants.
http://www.laviemoderne.net/lames-de-fond/009-comment-j-ai-pourri-le-web.html
Ce professeur a demandé à ses élèves de faire un commentaire composé sur un poème d’un auteur peu connu et non référencé sur internet. Le professeur a selon ses dires « pourri le web » en modifiant la fiche wikipédia de l’auteur en question et en publiant des corrigés bidons pour commentaire composé portant sur le poème en question.
Résultats : sur 65 élèves, 51 ont recopié à des degrés divers les informations erronées publiées sur le web. Un constat inquiétant montrant la quasi sacralisation d’internet, la perte de confiance des élèves vis à vis de leur propre pensée.
L’introduction des NTIC s’est fait dans notre système scolaire universitaire avec enthousiasme, sans recul critique. De nombreux enseignants sont maintenant confrontés à des rapports ou des copies ressemblant de plus en plus à des copier-coller d’articles publiés sur internet. Il arrive même que cela se produise lors d’examens dans les amphis où l’utilisation des smartphones permet la consultation d’internet.
Il est plus que nécessaire de sensibiliser nos étudiants à cette dérive mais l’omniprésence d’internet rend la tâche difficile. Expérimenter l’évaluation sous forme de QCM est peut être une solution provisoire.
Faire des graffitis avec de l eau c est d sromais possible. Antonin Fourneau, dipl m de l ‘ cole des arts d coratifs de Paris, a cr un mur de LED s allumant au contact de l eau. Une id e originale qui a fait son apparition dans les rues de Poitiers fin juillet 2012. Les passants ont pu profiter de la cr ation nomm e Water Light Graffiti en pr sence de l artiste. Un moment magique comme en t moignent les images de l v nement.