Sarkozy est contre l’euro fort. Mais il est
pour un dollar fort (« Une grande économie doit avoir une
grande monnaie ») et pour un yuan fort
(« Un grand pays doit avoir une monnaie forte »).
Conclusion : la France n’est ni un grand pays, ni une grande économie.
Vous en doutiez ??
beau syllogisme…
Je serais Ben Bernanke ou Wen Jiabao, je ne me cacherais même pas pour en rigoler…
Mmmh, il n’y avait pas de cours de logique dans votre cursus économique ? 😉
La conclusion serait que l’EUROPE n’est ni une grande économie, ni un grand pays (et force est de reconnaître que sur ce dernier point…)
Et puis bon, “contre l’euro fort”, c’était il y a huit mois…
(Mais POURQUOI me mets-je à défendre Sarkozy, moi ?)
Olivier,Rien compris à ton texte… 1er ou 2ème degré ?Pour les fils d’ouvrier et d’employés à la fac:Une véritable sélection à l’entrée de l’Université ? Peut-être, mais ALORS dans le but avoué d’en éliminer les perroquets savants qui ne doivent leur présence en Fac qu’aux moyens financiers ou intellectuels de leurs parents. http://blog-ccc.typepad.fr/blog_ccc/2007/11/une-vritable-sl.html
Pour lutter contre les effets néfastes de l’euro fort, je propose à Nicolas Sarkozy de préciser dans le nouveau code du travail que les salaires seront payés en Yuan.Avec une parité un euro= un yuan.Seuls les bénéfices seraient versés en euros.
Conclusion N.S raconte n’importe quoi du moment que ça donne l’impression que l’on agit
Ah elle est magnifique celle-là :”Conclusion : la France n’est ni un grand pays, ni une grande économie.”Moi je dirais plutôt :”La France est donc un petit pays , elle a une petite économie ET un petit Président”
Je ne suis pas toujours d’accord avec Sarkozy, mais je pense que les conclusions tirées de cet article sont un peu rapide.Et cela montre bien, comment on peut manipuler des gens facilement.Quand il critique l’Euro fort, la faible du Dollars et du Yuan, c’est les uns par rapport aux autres.Ce qu’il voudrait c’est limiter les décrochages rapides et politiques des monnaies.
… ça montre surtout une fois de plus qu’il dit tout et son contraire en fonction de l’auditoire qu’il a en face